Tensions Algérie vs Mali : la riposte cinglante de Choguel Maïga à Ahmed Attaf
24 Avr 2025 - 13:53
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Africain1. Identité et autonomie : - Volonté des Touareg d’être reconnus, respectés, et d’avoir un pouvoir politique réel dans leurs régions. - Les Touaregs veulent vivre en paix sur la terre de leurs ancêtres 2. Développement : - Marginalisation économique du Nord, faible accès aux infrastructures. - Le Nord du Mali est historiquement moins développé : peu d’infrastructures, accès limité à l’école, à la santé, etc. 3. Sécurité : - Insécurité chronique, présence de groupes armés étrangers Wagner . 4. économie : - La région des Touaregs, est très riche en ressources naturelles stratégiques ce qui attise l’appétit des putschistes. - Les Touaregs sont riches en uranium, pétrole, gaz, or, lithium, sel, et possèdent un potentiel énergétique stratégique.14 joursRépondreLike (0)
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AfricainIl ne faut pas dire aux mots ce qu’ils ne veulent pas dire. Les Touareg sont un peuple berbère nomade du Sahara, réparti principalement entre le Mali, le Niger, l’Algérie, la Libye et le Burkina Faso. Au Mali, ils vivent surtout dans le nord du pays, notamment dans les régions de Kidal, Gao, Tombouctou, et Ménaka. Ils ont une culture et une langue (le tamasheq) distinctes des populations majoritaires du sud (bambara, peul, etc.). 1. Époque coloniale et indépendance (avant 1960) • Les Touareg ont résisté à la colonisation française à la fin du XIXe siècle (révoltes de 1916-1917). • L’indépendance du Mali (1960) a été perçue comme une perte d’autonomie par les Touareg, qui se sont retrouvés marginalisés dans un État centralisé contrôlé depuis Bamako. 2. Première rébellion touarègue (1963-1964) • Conduite dans l’Adrar des Ifoghas, cette révolte est réprimée avec une extrême sévérité. • Résultat : renforcement de la méfiance entre les Touareg et l'État central. 3. Deuxième rébellion (1990-1996) • Déclenchée après des années de marginalisation, sécheresse et répression. • Création du Mouvement Populaire de l'Azawad (MPA). • Accords de paix de 1992 (Accords de Tamanrasset, puis Pacte national de 1996), mais ils sont partiellement appliqués. • Cérémonie de "flamme de la paix" à Tombouctou en 1996, où des armes sont symboliquement brûlées. 4. Troisième rébellion (2006-2009) • Revendications d’autonomie, développement et meilleure intégration. • Nouveaux groupes : Alliance démocratique du 23 mai. • Reprise de la lutte armée, surtout à Kidal. • Fin partielle du conflit par la voie de la négociation, mais les causes profondes restent. 5. Quatrième rébellion (2012) et crise majeure • Contexte régional : chute de Kadhafi → retour d’ex-combattants touaregs lourdement armés de Libye. • Création du MNLA (Mouvement National de Libération de l’Azawad), qui déclare l’indépendance de l’Azawad en avril 2012. • Interférences jihadistes : AQMI, MUJAO, Ansar Dine s’allient puis s’opposent au MNLA. • Effondrement de l’armée malienne → coup d’État à Bamako en mars 2012. • Intervention française (Opération Serval) en janvier 2013 → expulsion des groupes islamistes. Après 2013 : accords, tensions et statu quo instable Accords d'Alger (2015) • Signés entre le gouvernement malien et la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA). • Prévoient une décentralisation renforcée, le développement du Nord, l’intégration d’ex-combattants dans l’armée. • Mais mise en œuvre lente, confiance brisée. Situation actuelle (2020s) • Kidal reste hors du contrôle effectif de Bamako. • Retrait de l'armée française (fin de Barkhane). • Montée en puissance du Groupe Wagner, tensions avec la communauté internationale. • Reprise des hostilités fin 2023 entre l’armée malienne et la CMA, après l’effondrement du cessez-le-feu. • Recomposition des alliances : groupes indépendantistes et jihadistes se croisent parfois sur le terrain.14 joursRépondreLike (0)
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AfricainUn État de droit ne peut pas rendre caduc un accord international de manière unilatérale, surtout s’il a été signé et ratifié dans les formes prévues, et encore moins s’il a été enregistré auprès de la communauté internationale (par exemple à l’ONU). - Le Principe de pacta sunt servanda (article 26 de la Convention de Vienne sur le droit des traités) : « Tout traité en vigueur lie les parties et doit être exécuté par elles de bonne foi. » - La souveraineté n’est pas absolue en matière d’accords : une fois qu’un État s’engage par un traité, il s’oblige juridiquement. Il ne peut pas s’en dégager unilatéralement.14 joursRépondreLike (0)
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KInguirankeL’Algérie est devenue un état terroriste qui est la mere de tous les problèmes de notre region. Dommage que Tebboune est le gros Arabe de salon d' Emmanuel Macron!14 joursRépondreLike (0)