Mali : ce petit avion surfacturé qui plane sur Bamako
Très attendu, le rapport de la Cour des comptes sur l’achat de l’avion présidentiel est tombé . L’appareil a coûté 41,2 millions de dollars selon un contrat de gré à gré signé le 10 février 2014.
Les auteurs du rapport mentionnent l’existence de deux contrats liés au marché de l’équipement militaire, d’un montant de 69 milliards de FCFA au profit de la société Guo-Star. Le constat est clair. Il y a eusurfacturation de 29 milliards de FCFA. Ce montant est obtenu en comparant les factures de la société chinoise Sinotruck Import/Export et celles présentées à l’Etat par le partenaire malien. Autre détail révélé par l’enquête, l’émission d’une garantie bancaire de 100 milliards de FCFA par l’Etat. Les partenaires en exigent l’annulation. L’histoire du Boeing 737 présidentiel n’est pas terminée.
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KassinLe Mali au bord d'un autre effondrement! En 2012, la stupéfaction était de taille quand le monde entier, découvrit avec quelle facilité déconcertante le régime ATT partait en lambeaux dans une république qui était considérée (à tort) comme étant l'une des plus stables en Afrique occidentale. En effet, tous les ingrédients d'une absence d'État étaient déjà réunis deux ans plutôt en 2010, alors que le pays s'efforçait, à célébrer les festivités d'un cinquantenaire avec fastes et arrogance. Un État coquille vide avec des institutions de la république, totalement à côté de leurs missions régaliennes et des fonctionnaires et autres agents de l'État plus orientés affaires personnelles et privées que services publics. La grande corruption, le laisser aller, le mensonge et le faire semblant étaient la règle acceptée par tous ou presque avant la catastrophe de 2012. Avec les élections de juillet et août 2013, l'espoir était de nouveau permis et la communauté internationale qui avait déjà promis 3,25 milliards d'euros d'aide au pays avait cru aux capacités du Mali à se réinventer. Mais une année plus tard, le malade Mali fait une rechute, et perd le peu de crédit que la transition du professeur Dioncounda Traoré avait pourtant pu colmater au prix de moult agitations et concessions y afférentes. IBK, le président élu, dans une piqûre mégalomaniaque digne du temps de Bokassa et de Mobutu, parvient tour à tour à gaspiller le capital de sympathie de la communauté internationale et des maliens placé en lui et à son régime. Fraudes à ciel ouvert de l'argent public, légalisation du mensonge d'État, légalisation du vol, légalisation des voleurs et normalisation de milieux mafieux et crapuleux au sommet de l'État deviennent les marques du fabrique du régime à bout de souffle de Ladji Avion. Après reniement/dénigrement des agents du FMI, le régime IBK, toute honte bue, finit à la corde de deux rapports d'audit (celui du vérificateur général et celui de la cour suprême) qui relevèrent l'ampleur du vol et de la cupidité des hommes de Koulouba version 2013 et 2014. Une année est passée et les maliens savent désormais que celui à qui ils ont porté leur espoir et leur confiance aux dernières élections présidentielles, est venu avec un autre agenda, celui du pillage systématique de l'État malien. Les parents pauvres de cette politique dévastatrice et ravageuse de l'argent public chez nous ce sont d'abord, l'autorité de l'état, l'école, la santé et l'investissement public dans les infrastructures économiques et sociales de bases (routes, barrages, électricités, télécommunications, eau potable, aménagements agricoles, hôpitaux, etc). L'armée dont tout le monde attendait la nécessaire restructuration, n'a jamais rien reçu du régime IBK à part frauder en son nom des marchés publics à coup des dizaines voire des centaines de milliards. Et quand les audits accablants tombent et nous révèlent le méga vol du régime IBK, on nous apprend, que les marchés publics (qui ont déjà fait l'objet de décaissements indus de l'argent public) sont "annulés" sans daigner nous dire quelles suites judiciaires tout cela a aboutit. Comment peut-on annuler une fraude massive qui a déjà coûté des milliards de nos maigres ressources publiques sans saisir la justice pour qu'elle châtie les malfaiteurs? À cause de cette fourberie qui consiste à détourner l'argent public tout en faisaient croire (par un exercice rodé de mensonge des ministres, premier ministre et conseillers de Koulouba) que ce sont des dépenses normales de fonctionnement de l'État, nous sommes restés faibles au niveau de la capacité opérationnelle de notre armée, aucune amélioration dans les conditions de vie et de combat de nos soldats au front nord de notre pays. Cette situation est bien exploitée par une coalition de bandits armés du nord de notre territoire qui n'hésitent plus à demander carrément le fédéralisme car ils ont su avant tout le monde qu'il n'y a plus d'État digne à Bamako. Les autres institutions de la république laissent faire Koulouba comme bon lui semble de l'argent public sans respect d'aucune loi et procédure. L'assemblée nationale reçoit dans ses murs, les mensonges de Moussa Mara, de Fily Bouaré et pleins d'autres ministres sur la gouvernance du pays, sans lever le petit doigt alors qu'elle a mandat du contrôle de l'action gouvernementale. La cour suprême ne diligente aucune mission de contrôle de l'utilisation des deniers publics, elle attend gentiment que le FMI coupe ses fonds au pays et que le premier ministre lui commande un audit comme on commande une pizza au coin de la rue. Le plus grave est que les enquêteurs de la cour suprême se focalisent sur la régularité formelle des transactions objet de l'audit sans jamais regarder la réalité et la sincérité des prestations effectivement rendues à l'armée dans le cadre des marchés publics incriminés. C'est à dire quels sont les biens réellem11 ansRépondreLike (0)
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DiaganaBsr atoute et atous mua je sui pa contan de ibka pour achate le boyne atte avé acheté oussi donc le malien son tre fatige merci :lol:11 ansRépondreLike (0)
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SikassoIl est temps que la jeunesse commence à kidnapper les proches et les personnes concerner dans les corruption d'état Ibk est un déshonneur pour le mali l'opposition doit faire son travail et les députés doivent interpeller le gouvernement pour qu'il les rend compte de tout leurs magouille avec l'argent des maliens il y'a des loi au mali contre la corruption il faut les appliquées il que les mentalités changés au mali les fonctionnaires et les hommes politique croient que le mali leurs appartient ils abus des biens du peuple maliens sans avoir peur des conséquences ses a la population de se révoltes contre cette impunité11 ansRépondreLike (0)
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myntiUne chose est certaine c'est que les choses bougent. Une chose est certaine c'est qu'il y a plus de transparence, de liberté de parole ,d'expression et de pensée qu'auparavant. Jamais un président n'a été aussi insulté ,critiqué et trainé dans la boue par l'opposition que maintenant Malgré toutes les insultes de toute sorte,des diffamations de tout genre,des accusations gratuites et infondées,aucune personne n'a été arrêtée pour ça.C'est deja le signe d'une grande démocratie Tout ce qui se trame dans les coulisses est dévoilé sur la place publique. Tous les achats importants sont divulgués. Le peuple est tenu informé de toutes les décisions importantes prises par l'Etat. Les négociations avec les rebelles terroristes sont mises en lumière pourqu'aucun détail n'échappe au peuple malien. C'est déjà le signe d'une très grande transparence que le Mali n'avait jamais connue. Toute cette tr11 ansLike (0)
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KassinQui veut blanchir les méga voleurs de la république? Sidy Mohamed Kagnassy, conseiller trouble d'un président mégalomane et voleur, au cœur d'un énorme scandale de surfacturations à coup de dizaines de milliards de FCFA de fournitures et matériels au nom de l'armée malienne dont personne ne sait qu'est-ce qui est RÉELLEMENT acheté et qu'est-ce qui est RÉELLEMENT LIVRÉ à l'armée malienne. Même la cour suprême qui a semble t-il pourtant audité les marchés publics douteux dont cet homme qui se dit "homme d'affaires" est empêtré avec le régime voleur d'IBK, ne nous dit pas qu'est-ce qui a été livré réellement à l'armée malienne et qu'elle est la valeur réelle des biens et matériels réellement livrés à l'armée malienne dans le cadre des contrats Kagnassy/IBK. La grosse arnaque, a déjà révélé ses irrégularités juridiques et ses aspects illégaux, ça on le sait grâce à la perspicacité du FMI et du rapport d'audit de la cour suprême qui en a suivi à force des choses. Mais ce que les maliens ne savent pas, c'est qu'est-ce qui finalement a été livré RÉELLEMENT à l'armée malienne. Puisque c'est de la CAPACITÉ OPÉRATIONNELLE de l'armée malienne qui est en question, il est étonnant que l'audit conduit par la cour suprême du Mali ne s'est pas prononcé sur l'opportunité et l'effectivité des dépenses publiques et des prestations y afférentes liées aux contrats Kagnassy/IBK. Un conseiller à la président qui conseille donc pour avoir lui même un marché public de plus de 100 milliards de FCFA de gré à gré sans que personne ne puisse contrôler qu'est ce qui a été au finish réellement livré à l'armée malienne et qu'elle est la valeur réelle des biens livrés. Il est évident que c'est une affaire de vol organisé, mais diable pourquoi la justice malienne ne dit rien? Comment peut-on voler autant d'argent public étant employé de l'état et continuer à vaguer librement à ses occupations comme si rien était? En réalité les Kagnassy ne connaissent que le vol de l'argent public du Mali. Ça a commencé par le père, Cheickna Kagnassy, malfrat de grand chemin, qui s'exila en Suisse, avec l'argent volé dans le trésor public du Mali, par le Trinita du CMLN, j'ai nommé le délinquant Kissima Doucara. Ce vol a permis à Cheikna Kagnassy et ses apôtres du vol organisé, de créer l'entreprise "Aiglon SA" et de continuer de commercer et de faire le business en Afrique à travers ses suppôts et ses valets de la trame de Bakorè SYLLA. Si si celui-la même qui vous tympanise à Korofina nord, chaque vendredi, en faisant lire le coran par une horde d'imans et de marabouts de tout acabit à ses ordres, après avoir fait sa prière hebdomadaire du vendredi à Ségou, est un collabo et une seconde main de nos Al Capone des Kagnassy. C'est Bakoré Sylla qui leur permettait de blanchir leur argent volé au Mali car du temps de Moussa Traoré, les Kagnassy ne pouvant pas montrer publiquement leurs affaires au Mali depuis la disgrâce de Kissima Doucara et Tiècoro Bagayogo en 1978. Alors les Kagnassy en ont profité avec le pactole légué par Kissima Doucara, pour s'essayer dans le commerce du coton et autres babioles en Côte d'Ivoire et dans la sous région ouest africaine. Bakorè Sylla ayant compris la cupidité des politiciens de l'Adema PASJ en pouvoir au Mali dans les années 90 et 2000 (Y COMPRIS IBK ET SOUMAILA CISSÉ) a vite compris qu'il faut financer cette mafia qu'est l'Adema PASJ pour profiter des exonérations fiscales et douanières dans son commerce douteux du riz et du sucre (dont il se montre fièrement dans ses boutiques et entrepôts de Nierela et Bozola à Bamako) et permettre aux Kagnassy de revenir haut la main au Mali après leur casse du trésor public du temps du CMLN. Bakorè Sylla devient donc l'un des principaux contributeurs de l'Adema PASJ (au même titre que d'autres voleurs comme Marimatia Diarra qui a dévalisé le projet Banque mondiale pour l'environnement, le PGRN, et Cheickina Mody Coulibaly, le dévaliseur de la douane qui voulait imposer Modibo Sidibé comme candidat de l'Adema PASJ en 2013). C'est ainsi que Bakorè Sylla parvient à présenter les Kagnassy comme des hommes saints et honnêtes au Mali alors qu'ils sont pire que les Dalton et c'est c'est ainsi qu'ils sont revenus au Mali du temps de Alpha Oumar Konaré. Voilà d'où viens Sidy Mohamed Kagnassy, celui-la même qui a été nommé fièrement CONSEILLER SPÉCIAL D'IBK à Koulouba. C'est un BÉBÉ DOC, bercé depuis la tendre enfance, dans l'argent volé au peuple malien principalement dans les années 70 et jamais remboursé par les Kagnassy aux maliens. C'est pour ça que Sidy Mohamed Kagnassy n'a pas hésité une seconde à facturer d'un seul coup plus de 100 milliards d'un marché public de gré à gré conclu en violation de toutes les procédures en la matière (UNE PREMIÈRE ET UN RECORD AU MALI). Pour se faire oublier, dans l'agitation généralisée du FMI et autre justice française qui commence à coffrer même les Boubeye Maïga qui ont pourtant des entr11 ansRépondreLike (0)
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ousmanehttp://www.financialafrik.com/2014/06/23/mali-fmi-ces-135-millions-deuros-qui-provoquent-la-prise/11 ansRépondreLike (0)
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ousmanehttp://www.financialafrik.com/2014/06/11/mali/11 ansRépondreLike (0)