Hôpital Gabriel Touré : Dr Losséni Bengaly, un syndicaliste fallacieux et opportuniste

8 Mai 2012 - 00:10
8 Mai 2012 - 01:37
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Certains hommes ont la mémoire courte et sont appelés toujours à être des petits hommes. Ce Losséni est de cette race d’hommes qui, même si tout l’or du monde leur ait donné, ils décevront. Tout simplement, ils sont insatiables. Pire, ils ne pensent qu’à eux seuls «moi ou rien». Depuis quelques moments, cet homme pseudo syndicaliste au service d’hommes politiques véreux qui pensent que c’est ce putsch qui leur servira de paravent pour accéder au pouvoir sème le désarroi dans cet hôpital vitrine du pays. Comme si cela ne suffit pas, il s’en prend aux journalistes qui ont fouiné pour faire éclater la vérité au grand jour. Quel malheureux cet homme ? Est-il réellement Docteur de son état ? Comment a-t-il pu avoir tout ce dont il se glorifie aujourd’hui ? M. Bengaly, «Qui ne supporte pas la fumée ne verra pas la flamme : on n’a rien sans peine», a dit Me Alioun Blondin Beye. Donc, nous n’avons jamais eu l’intention de vous nuire et nous ne le ferons jamais à qui que ce soit. Mais, simplement notre rôle est de servir le peuple et dans cela «Notre rôle n’est pas de plaire ou de déplaire. Il est de tremper la plume dans la plaie». Et puis, il faut savoir que «La critique est une lime qui polit ce qu’elle mord». Le CHU Gabriel Touré, comme il nous a été permis de mener des enquêtes est sujet depuis le coup d’état du 22 mars à de mouvements d’humeur de toutes sortes d’individus se cachent sous le couvert du syndicalisme. Oh mon beau pays que Dieu te sauve ! M. Bengaly, nous ne voulons pas et certainement nous n’allons révéler qui êtes-vous réellement. C’est dire que nous nous réservons de répondre aux questions susmentionnées. Alors, nous vous demandons de rester humble à cause de vos amis qui sont aussi les amis à notre Directeur de Publication. Cependant, le constat est amer et pousse à réfléchir dans ce pays. Puisqu’avec le coup, la situation sociopolitique a pris du rempart. Ainsi, au Gabriel Touré, l’alternative pour certains est d’exiger le départ du Directeur Général Dr Abdoulaye Néné Coulibaly. Raison principale qui s’avère politique sinon suivez les exigences du syndicat de Bengaly les autres s’étant désolidarisés. Il s’agit dans leur cahier de doléance : du paiement des arriérés de ristournes aux agents, du paiement des primes de gardes,  de la régularisation de la situation de leurs parcelles de terrains à Banancoroni, l’équipement du bloc technique de l’hôpital, de la réparation du scanner en panne, de la réparation de la radio conventionnelle, de la dotation de la pharmacie en produits, etc. Pour cela, le syndicat avait déposé un  préavis de grève sur la table  du Directeur Général, Dr Abdoulaye Néné Coulibaly. Mais le 22 Mars 2012, pendant qu’une Commission de conciliation se mettait en place, le coup d’Etat militaire intervint. Qu’à cela ne tienne, quelques jours après les évènements, une commission de négociation est mise en place pour l’évaluation des revendications et puis faire des propositions allant à la quiétude. Il ressort que le Directeur Général a, à la date indiquée, procédé au paiement de tous les arriérés de ristournes et de primes de garde. La radio numérique fonctionne, le scanner dont il est beaucoup question doit, en principe, reprendre du service courant semaine, avons-nous constaté à travers M. Gaoussou Touré chargé de sa réparation. Celui-ci dit ceci : «En fait, depuis quelques jours, le scanner est réparé car il fournit des images mais il s’est avéré qu’il y a un autre problème technique qui a encore nécessité une autre commande qui a été vite diligentée par le DG à travers DHL. Donc, s’il plait au bon Dieu, les choses ne vont pas tarder à rentrer dans l’ordre. Je tiens à féliciter le DG qui ne ménage aucun effort pour que le HGT soit dans les normes d’un grand hôpital. Ce qui est très rare ici en Afrique.»  L’équipement du bloc technique composé de cinq (05) salles d’opération, avait au départ fait l’objet d’un accord entre les autorités du Mali et celles de l’Espagne qui comptaient faire don de ces matériels. La mise en œuvre ayant pris du temps, l’administration à travers le budget national à commencer à prendre en charge l’achat des équipements en fonction de ses possibilités. Ce bloc technique sera bientôt opérationnel car 90% du matériel est déjà sur place grâce au sacrifice personnel consenti par Dr Coulibaly, conscient du rôle que joue le Gabriel Touré. La pharmacie, le DG en arrivant a hérité de l’hôpital d’une dette d’environ 200 millions des fournisseurs. Le DG a commencé à éponger ces dettes. La Pharmacie Populaire  du Mali (PPM), principale fournisseur  de l’hôpital ne répond plus en fourniture de médicaments. Cependant, il faut reconnaître que la pharmacie a des problèmes mais dispose du minimum nécessaire pour la prise en charge de certaines opérations chirurgicales et autres soins. LES PARCELLES Cette situation (terrains à Banancoroni), date de 2006, avant l’actuel DG. Ce projet salutaire est du syndicat. Pour s’en approprié du lot à usage d’habitation, le syndicat a signé un contrat avec un promoteur immobilier M. Sidiki Kéïta. Les clauses du contrat, chaque agent socio-sanitaire désireux de bénéficier de parcelle s’engage à verser dans un compte bancaire appartenant au promoteur, la somme d’un million cinq cent mille (1.500.000) Francs CFA. Les paiements se font par tranche à la fin de chaque mois jusqu’au délai. Patatras, des bénéficiaires du projet ont commencé à lui donner des chèques sans provision. Intervient alors un 1er blocage. Afin de résoudre ce désagrément, le syndicat a, au cours d’une assemblée générale, choisi trois (03) personnes du comité syndical pour récolter les sommes et les faire parvenir au promoteur. Ceux-ci également deviendront des loups. Finalement, le promoteur suspend le programme et décide de se référer aux tribunaux pour écrouer les fautifs. Aussi, une partie des travailleurs qui avait payé leurs frais décide de contacter un avocat pour intenter un procès contre le syndicat de l’hôpital. L’autre partie des bénéficiaires sollicite l’intervention du DG qui a lui-même payé des frais  de parcelles  aux syndicalistes. N’étant ni de près ni de loin impliqué auparavant, le DG intervient en ce moment pour un règlement à l’amiable. Tout simplement, un mauvais arrangement vaut mieux qu’un bon procès. Sa proposition fut alors acceptée par les différents protagonistes et les actions sont en cours pour que chacun soit remis dans son droit. Qu’à cela ne tienne, le mardi surpassé où M. Bengaly brandissait nos journaux pour nous insulter à son Assemblée générale fantomatique boudée par une grande partie des travailleurs de l’hôpital notamment les chefs de services, les majors, les manœuvres et même une partie de son propre comité syndical et l’autre n’en parlons pas, il s’est solde que  c’est du pire règlement de compte personnel avec le DG Abdoulaye Néné Coulibaly. Sinon, selon les travailleurs que nous avons rencontré, ils estiment que dans aucun service du Mali et voire du monde, tout ne peut être rose à tout moment mais que leurs droits sont respectés et que le combat se fait pour les intérêts inavoués. Alors que ce Docteur pseudo syndicaliste fallacieux et opportuniste se taise, cela vaut mieux pour lui. Sinon comme l’a dit la Bible : «Tu connaîtras la vérité et la vérité te rendra libre». Nous lui ferons connaître la vérité. Moussa SOW Stagiaire

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