Sit-in au centre hospitalo-universitaire Gabriel Touré : Les travailleurs observent une trêve de deux semaines
Le syndicat national de la santé, de l'action sociale et de la promotion féminine du centre hospitalo-universitaire Gabriel Touré, a initié depuis trois semaines des sit-in bihebdomadaires dans l'enceinte dudit établissement.
A la demande de leur syndicat de tutelle, les travailleurs viennent d'observer une trêve de deux semaines. Cette décision a été annoncée lors de leur sit-in bihebdomadaire le jeudi 17 mai. Selon les syndicalistes les dispositions ont été prises pour assurer le service minimum. Les guichets fonctionnent normalement de même que la pharmacie. Le hic est que les consultations étaient arrêtées pendant les deux heures que le sit-in a duré.
Dr. Loséni Bengaly, secrétaire général du syndicat, soulignera que cette décision intervient suite à une visite du Syndicat national de la santé, de l'action sociale et la promotion féminine qui a promis de s'approprier le dossier. "Nos responsables nous demandent de surseoir au sit-in. Ils sont décidés à nous aider pour faire aboutir les revendications. Les deux semaines seront mis à profit pour étudier minutieusement nos doléances " a-t-il signalé.
Rappelons que les revendications des syndicalistes tournent autour du paiement des primes de garde, la régularisation de la situation de leurs parcelles de terrain à Banancoroni, l'équipement du bloc technique de l'hôpital, la réparation du scanner en panne, la réparation de la radio conventionnelle, la dotation de la pharmacie en produits. Le Directeur général du Gabriel Touré, Dr Abdoulaye Néné estime que la direction fait et continuera de faire de son mieux pour améliorer les conditions de vie et de travail des agents socio-sanitaires.
Aux dernières nouvelles la Commission santé, a rencontré les deux parties pour trouver une solution à cette crise qui prévaut au CHU Gabriel Touré.
Espérons que cette médiation permettra aux deux parties de revenir à de meilleurs sentiments pour le bonheur des malades.
Ramata TEMBELY
A la demande de leur syndicat de tutelle, les travailleurs viennent d'observer une trêve de deux semaines. Cette décision a été annoncée lors de leur sit-in bihebdomadaire le jeudi 17 mai. Selon les syndicalistes les dispositions ont été prises pour assurer le service minimum. Les guichets fonctionnent normalement de même que la pharmacie. Le hic est que les consultations étaient arrêtées pendant les deux heures que le sit-in a duré.
Dr. Loséni Bengaly, secrétaire général du syndicat, soulignera que cette décision intervient suite à une visite du Syndicat national de la santé, de l'action sociale et la promotion féminine qui a promis de s'approprier le dossier. "Nos responsables nous demandent de surseoir au sit-in. Ils sont décidés à nous aider pour faire aboutir les revendications. Les deux semaines seront mis à profit pour étudier minutieusement nos doléances " a-t-il signalé.
Rappelons que les revendications des syndicalistes tournent autour du paiement des primes de garde, la régularisation de la situation de leurs parcelles de terrain à Banancoroni, l'équipement du bloc technique de l'hôpital, la réparation du scanner en panne, la réparation de la radio conventionnelle, la dotation de la pharmacie en produits. Le Directeur général du Gabriel Touré, Dr Abdoulaye Néné estime que la direction fait et continuera de faire de son mieux pour améliorer les conditions de vie et de travail des agents socio-sanitaires.
Aux dernières nouvelles la Commission santé, a rencontré les deux parties pour trouver une solution à cette crise qui prévaut au CHU Gabriel Touré.
Espérons que cette médiation permettra aux deux parties de revenir à de meilleurs sentiments pour le bonheur des malades.
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abrakadabramCette treve n'est pas moins une fuite en avant du syndicat national de la santé qui est une porriture qu'il faut rejetter tout simplement parcequ'il a à sa tete le plus fumiste et le plus lache de president qu'un syndicat puisse avoir, c'est l'homme de l'inaction, de l'immobilisme et le partisan fervent du statu quo ante. S'il y a une cause à defendre c'est la demission de ce bureau qui n'a jamais defendu l'interet des agents de santé dans ce pays et qui a toujours abdiquer face aux doléances et à la misère des agents. Voyez comment le plus noble metier qu'est de soigner s'en trouve aujourd'hui avec la plus mauvaise et dangereuse reputation. Il faut bouder ce bureau national le plus vite possible et elir un autre qui pourra moraliser la profession et defendre veritablement les conditions de vie et de travail des agents de santé. Avant, soigner c'etait apporter du bien-etre aux malades, aujourd'hui, soigner c'est faire pressurer le malade,sa famille aussi pour lui courrir tous les risques et complications possibles. Le mal de la profession medicale doit faire l'objet d'une reflexion nationale (un forum)comme fut le cas de l'éducation mais en vrai cette fois-ci et non en leurre.-
ilam@ABRAKADABRAM, C'EST FAUX ET ARCHI FAUX CE QUE TU RACONTES. NE PARLEZ PAS DE QLQ CHOSE DONT TU IGNORE LES FAITS ET REALITES. LE CAS DU DR COULIBALY EST VRAIMENT EXTRAORDINAIRE. IL A VIDE LES CAISSES ET GERE TRES MAL LE PERSONNEL ET L'HOPITAL TOUT ENTIER AVEC UNE ARROGANCE HORS PAIRE. ON DOIT METTRE UN TECHNOCRATE DANS CETTE BOITE.
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fou.dkgmourrez en paix bamakois , si ce n'est pas la junte qui va vous tuer ,ce sera le personnel de l'hopital :cry: :cry:
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ilam@FOU.DKG, TU ES UN IMBE-CILE SALE BLANC. TU NE DIT JAMAIS RIEN DE POSITIVE POUR LE MALI ET LES MALIENS. QUAND VOUS N'ETES RIEN EN FRANCE VOUS VENEZ EN AFRIQUE POUR CROIRE QUEVOUS ETES QLQ CHOSE. TES COMMENTAIRE TU PEUX LES METTRE DANS TON C.U.L.
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