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Henry Kasperczak[/caption]
Après une difficile qualification, le Mali n'était point attendu à cette CAN de Guinée Equatoriale. Cependant, il avait commencé à déjouer les pronostics avant de décevoir sur toute la ligne.
Deux fois 3ème, le peuple rêvait d'une finale inédite. Malheureusement, le coaching approximatif de Henry Kasperczack lui a été préjudiciable. Sinon, il est inadmissible qu'en phase finale et en deux matches successifs qu'une équipe qui prétend jouer un des premiers rôles puisse se faire remonter en moins de dix minutes. Depuis ces faux pas, tout le monde devait s'attendre à un désaveu. Heureusement, la hargne de vaincre des jeunes a permis au Mali de rester dans la course. Alors, ce qui devait arriver arriva, le sort du Mali sera décidé par un tirage au sort. Plus entreprenant et ayant joué sans complaisance, la Guinée Conakry est sortie victorieuse du jeu de hasard, le tirage au sort.
Qu'à cela ne tienne, cette page est définitivement est tournée avec beaucoup de regret et de supputations. Après cette CAN, l'heure est arrivée de se remettre en cause et de voir une autre forme de gestion. A notre entendement, il est aujourd'hui opportun de revenir sur terre et de faire confiance à nos entraineurs locaux. Les méritants ne manquent pas, il suffit de leur faire confiance et de leur donner les moyens adéquats pour qu'ils puissent relever le défi.
Nous osons espérer que notre fédération va se tourner vers cette nouvelle piste pour nous sortir de l'approximatif. Puisque le temps de l'approximatif est révolu et nous estimons que nos locaux sont aujourd'hui capables de répondre à l'appel du peuple.
B. DABO