Mali : le Colonel Assimi Goïta fait sa première sortie à l’intérieur du pays

Koutiala, c’est la région choisie par le Colonel Assimi Goïta, pour effectuer sa première sortie en dehors de Bamako en tant que Président de la Transition du Mali. Le cortège présidentiel est attendu, ce samedi 19 mars 2022, dans la capitale du coton, où il doit prendre part à la traditionnelle fête du Coton.
Après les difficultés rencontrées au cours de la campagne 2020-2021, le Mali a renoué avec la grande production cotonnière en reprenant cette année sa place de premier pays producteur de coton en Afrique. Durant cette visite, le Chef de l’Etat de la transition se propose de remercier les producteurs de l’or blanc pour leur rôle important dans le développement du pays. C’est la première fois que le Colonel Assimi Goïta franchit les portes de la capitale malienne pour une sortie à l’intérieur, depuis sa prestation de serment en tant que chef de l’Etat Malien en juin 2021.
Déjà vice-président de la transition, le Colonel Assimi Goïta avait effectué quelques déplacements au Ghana, au Maroc, en Guinée d’Alpha Condé, ainsi qu'en Côte d'Ivoire. Mais depuis son accession au fauteuil présidentiel, il a toujours décliné les voyages à l’intérieur et en dehors du pays, en se faisant remplacer par son Premier ministre ou par le Ministre des Affaires Etrangères et de la coopération internationale.
Siaka DIAMOUTENE/Maliweb.net
Quelle est votre réaction ?







Articles Similaires
-
KInguirankeama je pense que j'ai oublie, Boua le ventru IBK etait de quelle ville encore?3 ansRépondreLike (0)
-
MALIEN HÔRÔNJe n'aime pas trop les sorties de Assimi3 ansRépondreLike (0)
-
KA AFRI'W FARO'FINWVIVE ASSIMI! VIVE CHOGUEL DIARRAH! EUH MAIGAKEITA! EUH CHOGUEL KOULOUBALI! VIVE LES YEREWOLO'W , SO MAAW DENW DU MALI! VIVE LES FAMAS! VIVE L HOMME NOIR ET LA FEMME NOIRE! VIVE LES JEUNES NON-ISLAMISÉS ET NON-CHRISTIANISÉS, CONSCIENTS! VIVE ET LIBERTÉE AU JEUNE GUINDO EMPRISONNÉ INJUSTEMENT! VIVE LES PEUPLES NIGERIENS, CENTRAFRICAINS, RWANDAIS, SUD AFRICAINS, MALIENS, GUINÉENS, BURKINABÉS ET MAURITANIENS SANS OUBLIER ALGERIENS! RUSSES! CHINOIS, BRITANIQUES!?3 ansRépondreLike (0)
-
NOUS NE SOMMES DES ESCLAVES DE PERSONNE SI CE NE SONT QUE NOS ANCÊTRES GÉNÉTIQUES!?L ESCLAVAGE N A PAS DE SENS ! LIBEREZ-VOUSLIBEREZ-VOUSLIBEREZ-VOUSLIBEREZ-VOUSS? ?El est appelé dans les tablettes ougariennes soit « Toru El », le dieu taureau, soit « Batbyu binwati », le créateur de toute créature, soit « Abu bani ili », le père des dieux, soit « Abu adami », le père des hommes. Il est « qaniyunu ôlam », le créateur éternel, ce mot — « ôlam » — réapparaissant dans la Bible, au livre de la Genèse, dans sa forme hébraïque « El Ôlam, אֵל עוֹלָם », pour désigner le Dieu éternel (Gn 21. 33 [archive]). ?3 ansRépondreLike (0)
-
RELIGION VEUT DIRE RELATION! ELLE REGROUPE LES GENS DE LA MÊME RACE ET INTÉRETS!Ēl est un mot des langues sémitiques du groupe nord-ouest, signifiant « Dieu ». Il peut avoir pris différentes significations selon l'endroit et le lieu où il est attesté, et il a notamment servi à désigner un dieu générique comme à Mari ou un dieu précis, qui a occupé une place importante dans différents panthéons. Sommaire Premières attestations Modifier Dans les régions écrivant l'akkadien cunéiforme au cours du IIe millénaire av. J.-C., on trouve des noms de personnes et des mentions d'El (« Ilu(m) » en akkadien). Le terme est en fait écrit par l'idéogramme « DINGIR », servant de déterminatif pour la divinité. Quand on a un nom amorrite, on lit « El », comme dans toutes les langues sémitiques occidentales[pas clair]. Avant ces attestations, qui datent du début du IIe millénaire av. J.-C., on est peut-être déjà en présence d'une forme ancienne de la désignation « El » dans les textes de la Bibliothèque royale d'Ebla (site archéologique de Tell Mardikh, en Syrie) du xxive siècle av. J.-C., où l'on trouve un dieu « Ilu » (lecture incertaine), assimilé au dieu sumérien Enlil. Ce nom se trouve à la tête d'une liste de dieux comme ancêtre des dieux, ou père de tous les dieux[1]. On ne sait pas vraiment ce qui se trouve derrière ces mentions d'un « dieu ». Peut-être s'agit-il d'une référence au concept de divinité en général, à une divinité personnelle ou familiale (« ilu(m) », désignant aussi, en akkadien, une divinité protectrice), ou bien à une divinité particulière : Addu ou Dagon. Ougarit Modifier Vers le début du IIe millénaire av. J.-C., El est présenté par les textes de la mythologie ougaritique comme le père du panthéon local[2]. Il se fait cependant supplanter par Baal (Hadad) — son fils ? —, le dieu de l'orage. À Ougarit, El aurait donc été alors une divinité en perte d'influence, qui se serait fait dominer par les dieux de la jeune génération. Sa parèdre (déesse consort) était Asherat. D'après certains textes, El (Ilu) est le père des dieux Hadat/Baal, Yamm (la Mer) et Mot (la Mort) dans le panthéon d'Ougarit mais 'ilu peut aussi signifier simplement « dieu »[3]. El est appelé dans les tablettes ougariennes soit « Toru El », le dieu taureau, soit « Batbyu binwati », le créateur de toute créature, soit « Abu bani ili », le père des dieux, soit « Abu adami », le père des hommes. Il est « qaniyunu ôlam », le créateur éternel, ce mot — « ôlam » — réapparaissant dans la Bible, au livre de la Genèse, dans sa forme hébraïque « El Ôlam, אֵל עוֹלָם », pour désigner le Dieu éternel (Gn 21. 33 [archive]). Il est possible qu'il faille voir dans le dieu El d'Ougarit une épithète désignant le dieu Dagon, dieu de la fertilité des panthéons sémitiques occidentaux, car Baal est tantôt présenté, le plus souvent comme fils de Dagon, et comme fils d'El. De plus, cela expliquerait pourquoi Dagon disposait d'un temple important à Ougarit, tout en étant absent des textes mythologiques, alors qu'on n'a pas découvert de temple dédié à El à Ougarit. Empire hittite Modifier El est également connu par un mythe hittite d'origine cananéenne, le mythe d'Elkunirshag et Ashirat. El y porte le nom d'Elkunirshag et, là aussi, sa parèdre est la déesse Asherat. Ce texte rapporte lui aussi la rivalité entre El et Baal. Son état fragmentaire ne nous permet pas de bien voir le déroulement du récit. Au début, Asherat tente de séduire Baal, qui repousse ses avances. Devant cet échec, elle le calomnie auprès d'El, et tous les deux s'unissent pour le châtier. Anat vient ensuite au secours de Baal ; la suite du récit est inintelligible. Il a en tout cas le mérite de nous montrer l'existence d'autres mythes relatifs aux divinités cananéennes en dehors d'Ougarit3 ansRépondreLike (0)
-
RELIGION VEUT DIRE RELATION! ELLE REGROUPE LES GENS DE LA MÊME RACE ET INTÉRETS!YUGU! ? TES ANCÊTRES ONT AUSSI MANGÉ DES CHIENS, DU MARGOUILLAT ET DES INSECTES ET AUTRES PROTEINES MALSAINS POUR LES ARABES! ?3 ansRépondreLike (0)