« Une bonne transition est une transition courte », estime le Général Moussa Sinko Coulibaly

Avr 3, 2021 - 21:24
Avr 3, 2021 - 21:24
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« Une bonne transition est une transition courte », estime le Général Moussa Sinko Coulibaly
Lors de sa tournée du 27 au 29 mars dans la région de Kita, le  président du parti la Ligue Démocratique pour le Changement (LDC), le Général Moussa Sinko Coulibaly a invité les autorités de la transition a organisé les élections dans les 18 mois. -maliweb.net- De Niantanso à Badinko en passant par Sagabari, le président du parti la Ligue Démocratique pour le Changement (LDC), le Général Moussa Sinko Coulibaly, a partout martelé le même message. Il dit être venu pour s’enquérir des préoccupations des populations et a demandé à ses interlocuteurs d’adhérer à la LDC. La seule formation politique, selon lui, capable de fédérer et de faire sortir le Mali de l’abîme. Le Général Coulibaly a enfin engagé ses militants à vulgariser  les idéaux du parti à travers le pays. Candidat à la prochaine présidentielle (NdlR, il l’a annoncé au cours de la tournée, le Général Moussa Sinko Coulibaly, n’a pas manqué de se prononcer sur la transition en cours au Mali. « Une bonne transition est une transition courte », a dit le Général Moussa Sinko Coulibaly. Une façon pour le président de la LDC d’appeler les autorités a organisé les élections au bout des 18 mois comme stipulé dans la charte de la transition.  Comme quoi, le Général Coulibaly ne souhaite pas une prolongation de la durée de la transition. L’ancien ministre de l’Administration Territoriale a également abordé la question des réformes. Selon lui, il faut avant toute chose,  s’assurer de la fonctionnalité des textes existants. Ce qui passe par une évaluation.  Parce que, affirme-t-il, « des fois quand on a pas de solutions, c’est facile de dire qu’il faut réformer ». Le Général Moussa Sinko Coulibaly a proposé une évaluation générale du fonctionnement de l’Etat par tous les maliens à travers une conférence nationale, une assise  ou toute autre forme de concertation.  « C’est seulement après cette évaluation qu’on pourra passer aux réformes en faisant un agencement des priorités », a-t-il affirmé. Abdrahamane SISSOKO/Maliweb.net De retour à Bamako 

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