L'envoyé spécial onusien participera à la réunion de la CEDEAO sur le Mali et la Guinée-Bissau
NEW YORK (Nations Unies), 18 mai (Xinhua) -- Le représentant spécial du secrétaire général pour l'Afrique de l'Ouest, Said Djinnit, participera à la réunion du Conseil de sécurité et de médiation de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), qui aura lieu dimanche à Abidjan, en Côte d'Ivoire, a indiqué vendredi un porte-parole de l'ONU.
Dans un communiqué publié par le bureau du porte-parole, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon s'est dit convaincu qu'était important de s'assurer que les décisions prises dans le cadre du processus de médiation au Mali et en Guinée-Bissau favorisent pleinement le retour rapide de l'ordre constitutionnel dans ces pays et y envoient un message de principe clair contre la prise anticonstitutionnelle de pouvoir.
"Les Nations Unies appellent de nouveau au strict respect des principes démocratiques. Elles appellent également les militaires des deux pays à retourner dans leurs casernes, à s'abstenir de toutes implication politique, et à respecter les autorités civiles et l'état de droit", lit-on dans le communiqué.
Kadre Desire Ouedraogo, président de la Commission de la CEDEAO, a annoncé le 15 mai que l'organisation sous-régionale était prête à déployer des troupes au Mali et en Guinée-Bissau.
Selon lui, les actuelles options pour la CEDEAO comprennent une résolution pacifique à la crise et un éventuel recours à la force visant à mettre fin à l'actuelle crise dans les deux pays.
Publié le 2012-05-19 11:03:17 | French. News. Cn
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maiga a soumala rigueur assortie de fermeté, c'est la seule voie qui réussit: ouattara a montré qu'il faut être ferme. les maliens doivent aux présidents de cote d'ivoire, du nigéria, du benin, et plus largement aux chefs d'état de la cedeao. quand on a suivi mr ouattara ce matin sur rfi dans le débat africain, on peut être deçu des politiciens maliens, ils mettent leurs intérêts personnels au dessus de ceux du pays. ouattara a dit qu'il a tenu à dire à la classe politique, que ça fait honte. la cedeao était prêt à reconduire toutes les sanctions, le 21/5/12 à 0h00. quelle fermeté! maintenant, les défis sont à l'intérieur: 1°) le retour de la junte dans les casernes; 2°) les pleins pouvoirs au président; 3°) constitution d'un nouveau gouvernement d'union nationale; 4°) mr dioncounda doit s'assumer dans la plénitude de ses pouvoirs; 5°) le malien doit s'assumer et en devant un citoyen qui exerce son droit de contestation; 6°) libération de tous les prisonniers de la junte; 7°) annulation de toutes les nominations militaires faites par sanogo; 8°) pour éviter la démoralisation des troupes, il faut que le commandements militaires revienne à la hiérarchie militaire, que sanogo et ses hommes soient sous la hiérarchie des hauts gradés; 9°) que la junte n'aie aucun rôle privilégie dans la transition au détriment de l'ordre militaire; 10°) se rappeler que sanogo et sa junte ont fait coup d'état contre les institutions républicaines, à ce titre, pas de traitement de faveur.13 ansRépondreLike (0)
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DRAEn se referant, sur la constitution et c'est ce qu'on doit absolument faire, Le CNDRE a ete aminstie, et maintenant il doit disparaitre purement et simnplement. Ils n'ont qu'a aller dans le camp et se monter au nord pour liberer les 3 regions, c'est tout ce que nous voulons. Sinon le peuple va se lever contre eux.13 ansRépondreLike (0)
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KassinLa transition politique au Mali et la constitution du 25 février 1992: l'intrus et les violations de droit. Le peuple souverain du Mali s'est doté d'une loi fondamentale qui stipule dans son préambule qu'il "....affirme sa volonté de préserver et de renforcer les acquis démocratiques de la révolution du 26 mars 1991..." Dans son article 26 cette loi fondamentale dit que "la souveraineté nationale appartient au peuple tout entier qui l'exerce par ses représentants et par voie de référendum. Aucune fraction du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice". Par ailleurs l'article 25 cite les institutions de la république du Mali qui sont au nombre de 8: -le président de la république, -le gouvernement, -l'assemblée nationale, -la cour suprême, -la cour constitutionnelle, -la haute cour de justice, -le haut conseil des collectivités territoriales et -le conseil économique et social. Dans son article 62, "les députés bénéficient de l'immunité parlementaire". Pour l'article 121, "les fondements de tout pouvoir en république du Mali réside dans la constitution..... .....Tout coup d'état ou putsch est un crime imprescriptible contre le peuple malien". Mes chers amis, si réellement nous sommes régis par la constitution du 25 février 1992, tous les membres du CNRDRE doivent passer devant la justice malienne pour "crime imprescriptible contre le peuple malien" si jamais le président Dioncounda ne promulgue pas la loi (article 40 de la constitution) qui les amnistie pour le coup d'état du 22 mars 2012. Leur première violation de la constitution malienne. Et en matière pénale, la complicité de crime est passible de poursuites judiciaires tout comme l'auteur principal du crime. En arrêtant arbitrairement des honorables députés, représentants du peuple souverain à l'assemblée nationale du Mali, qui sont pourtant protégés par l'immunité parlementaire (article 62 de la constitution), le CNRDRE et ses membres ont encore violé notre loi fondamentale. Ils ont continué à piétiner notre constitution (en violation des articles 9 et 10) en arrêtant arbitrairement des citoyens maliens, sans ouverture d'une information judiciaire à leur encontre, et au mépris des droits de la défense. Ils ont pris du plaisir, à bafouer la liberté de la presse, par des intimidations et des arrestations arbitraires de journalistes et d'hommes de presse, dont la seule raison réside dans la restriction de ladite liberté de la presse, au mépris de l'article 7 de notre constitution. N'étant pas une institution de la république (article 25 de la constitution), le CNRDRE ni aucun de ses membres, ne peut, du point de vue du droit malien, exercer aucun pouvoir en république du Mali, car selon l'article 121 de notre constitution, "les fondements du pouvoir résident dans la constitution". Et l'article 30 fait état d'élection au "suffrage universel direct" pour devenir président de la république du Mali. Du moment où le CNRDRE n'est mentionné nulle part dans cette constitution, il n'a aucun droit pour exercer aucun pouvoir en république du Mali, puis qu'il n'est élu nulle part en république du Mali. Par ailleurs, le CNRDRE ni aucun de ses membres, n'étant ni représentant élu du peuple souverain du Mali, ni une instance nommée par un quelconque pouvoir constitutionnel (exécutif, législatif et judiciaire), ils ne peuvent, du point de vue du droit malien, organiser aucune convention (soit-elle nationale, régionale ou katoise) ou tout autre attroupement (à caractère politique, civil ou militaire) qui sera de nature à décider de l'avenir politique de la république souveraine du Mali. Le CNRDRE ou un de ses membres ne saurait s'attribuer l'exercice de la souveraineté du peuple malien comme le précise l'article 26 de notre constitution. A moins que l'intrus ne veuille récidiver, perpétuellement, dans la violation de notre loi fondamentale, je ne vois pas mes chers amis, comment et pourquoi le président Dioncounda (dont la désignation est clairement définie dans l'article 36 de la constitution, qui précise un délai de 40 jours pour les élections, mais ne délimite pas l'intérim en cas de non élection dans ce délai) doit troquer sa présidence de la république du Mali, pendant notre transition politique, contre une convention anticonstitutionnelle d'une entité illégale qu'est le CNRDRE et qui croule sous le poids d'"un crime imprescriptible contre le peuple malien". Mes chers amis, l'avantage du droit, c'est qu'il est clair, limpide et net, en fait, pour ceux qui se soucient du droit. Et pourtant cela devrait être le cas pour tous les citoyens car nul n'est sensé ignorer la loi.13 ansRépondreLike (0)
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thAttniste tu ne vas pas nous dire sur la constition malienne ;n'es il pas aussi prescrit la haute trahision du peuple13 ansLike (0)
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yaméNe soyez ps trop prssé l'histoire les ratrapera (bandits de kati) ils se seront tous jugé.13 ansRépondreLike (0)
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TOUREIL NOUS EMMERDE CE JINNIT ! PAS D'INGERANCE MALHONNETE AU MALI . LE PEULE NE VOUS A PAS DESIGNE .13 ansRépondreLike (0)
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mondious karatekaMes chers amis, si réellement nous sommes régis par la constitution du 25 février 1992, tous les membres du CNRDRE doivent passer devant la justice malienne pour « crime imprescriptible contre le peuple malien » En arrêtant arbitrairement des honorables députés, représentants du peuple souverain à l’assemblée nationale du Mali, qui sont pourtant protégés par l’immunité parlementaire (article 62 de la constitution), le CNRDRE et ses membres ont encore violé notre loi fondamentale.Par ailleurs, le CNRDRE ni aucun de ses membres, n’étant ni représentant élu du peuple souverain du Mali, ni une instance nommée par un quelconque pouvoir constitutionnel (exécutif, législatif et judiciaire), ils ne peuvent, du point de vue du droit malien, organiser aucune convention (soit-elle nationale, régionale ou katoise) ou tout autre attroupement (à caractère politique, civil ou militaire) qui sera de nature à décider de l’avenir politique de la république souveraine du Mali. ALORS LE CNRDE ET CONPLICE DOIT DEGAGER ET REPONDRE A LA CPI ET A L.ONU LE PEUPLE DU MALI VA REGLER LEURS AMESTIE A LEURS FACON UNE AMESTI A LA MALIENNE ARTICLE 320 DECRETER ESSENCE ET ALLUMETE POUR SANOGO ET COMPAGNIE :twisted: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: un militaire doit avoir honte de parler dans ce pays logé ,nourri,habillé par l’impôt du contibuale malien et vous êtes pas a mesure de defendre ce Mali les 4 régions du nord doivent porter plainte contre l’armée malienne si non l’ex milice du mali. la CPI vous attant a votre decente de kati VOUS SANOGO ET VOTRE PATRUOILLE DE BIDASE Répondre13 ansRépondreLike (0)