Mise en œuvre de l’accord de paix : Le comité de suivi en quête d’une stratégie consensuelle
Le comité de suivi est à pied d’œuvre pour la bonne marche de l’accord pour la paix et la réconciliation au Mali. Il a repris hier ses travaux au CICB, après une suspension de 15 jours. Au menu : l’adoption du règlement intérieur, du calendrier du programme de mission de la mise en œuvre de l’accord, le financement de la mission du comité et les divers.
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Le ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra et médiateur des pourparlers de paix pour le nord du Mali.
AFP PHOTO/FAROUK BATICHE[/caption] La reprise des travaux de la session était présidée par le ministre des Affaires étrangères de l’Algérie, Ramtane Lamamra, en présence des représentants de l’Union africaine, de la Mauritanie, du Burkina Faso et les parties belligérantes (gouvernement du Mali, CMA et Plateforme). Il faut aussi noter une présence de haut niveau de la Minusma et de la France à travers son ambassadeur. A en croire M. Lamamra, l’accord prévoit une réunion par mois. Et de poursuivre que la réunion d’hier, suite de la session du 5 juillet dernier, est la 3e du comité en un mois. Une preuve de l’engagement pour la résolution rapide et durable de cette crise. Il a précisé que pendant la trêve de 15 jours, le comité a tenu des consultations informelles en rencontrant simultanément l’équipe gouvernementale, la Coordination et la Plateforme. Le ministre algérien a précisé que ces consultations ont été fructueuses et utiles. L’adoption des différents points de la mise en œuvre de l’accord permettra de baliser la voie de la restauration de la paix et de la réconciliation au Mali. Youssouf Coulibaly
Le ministre algérien des Affaires étrangères Ramtane Lamamra et médiateur des pourparlers de paix pour le nord du Mali.AFP PHOTO/FAROUK BATICHE[/caption] La reprise des travaux de la session était présidée par le ministre des Affaires étrangères de l’Algérie, Ramtane Lamamra, en présence des représentants de l’Union africaine, de la Mauritanie, du Burkina Faso et les parties belligérantes (gouvernement du Mali, CMA et Plateforme). Il faut aussi noter une présence de haut niveau de la Minusma et de la France à travers son ambassadeur. A en croire M. Lamamra, l’accord prévoit une réunion par mois. Et de poursuivre que la réunion d’hier, suite de la session du 5 juillet dernier, est la 3e du comité en un mois. Une preuve de l’engagement pour la résolution rapide et durable de cette crise. Il a précisé que pendant la trêve de 15 jours, le comité a tenu des consultations informelles en rencontrant simultanément l’équipe gouvernementale, la Coordination et la Plateforme. Le ministre algérien a précisé que ces consultations ont été fructueuses et utiles. L’adoption des différents points de la mise en œuvre de l’accord permettra de baliser la voie de la restauration de la paix et de la réconciliation au Mali. Youssouf Coulibaly
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SikassoIls ont trahis le Mali avec l'accord de ibk
