L’accord de paix expliqué aux maliens de Paris : « Ceux qui ne signeront pas l’accord seront punis »
Une conférence de presse organisée à la Bourse du travail de Paris ce samedi 25 avril a été l’occasion d’expliquer le bien fondé de la signature de l’accord de paix paraphé le 1er mai dernier par le gouvernement et les mouvements d’auto-défense. A l’occasion, les deux conférenciers, le ministre de l’Economie numérique, de l’Information et de la Communication, porte-parole du gouvernement, Choguel Kokalla Maiga, et son collègue de la Réconciliation, Zahabi Ould ont annoncé que « « Ceux qui ne signeront pas l’accord seront punis »
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Zahabi Ould Sidi Mohamed est ministre de la Réconciliation nationale. © Farouk Batiche/AFP [/caption]
Accompagnés par le conseiller politique du président de la République Boubacar Touré, les ministres Choguel Maiga et Zahabi Ould Mohamed ont animé samedi une conférence de presse sur l’ « accord pour la paix et la réconciliation au Mali ». Après que le maître de cérémonie eut demandé à la salle d’observer une minute de silence en hommage aux morts des récents naufrages, l’hymne nationale fut entonnée. C’est en tant que porte-parole du gouvernement que Choguel Maiga a ouvert le bal en rappelant l’importance de la diaspora dans le cœur du président de la République IBK. Il a soutenu que que cet accord « est ce qu’il y a de mieux pour le Mali ».
Le ministre Zahabi Ould Mohamed, très applaudi, a expliqué les avantages de l’accord parfois sous les éclats de rire qui ont accompagné chacune de ses phrases assassines. Il a eu l’honneur de se faire applaudir par une salle assez hétérogène sur l’échiquier politique. Il a conclu avec cette mise en garde : « Ceux qui ne signeront pas l’accord seront punis »
Avec RP MEDIAS
Zahabi Ould Sidi Mohamed est ministre de la Réconciliation nationale. © Farouk Batiche/AFP [/caption]
Accompagnés par le conseiller politique du président de la République Boubacar Touré, les ministres Choguel Maiga et Zahabi Ould Mohamed ont animé samedi une conférence de presse sur l’ « accord pour la paix et la réconciliation au Mali ». Après que le maître de cérémonie eut demandé à la salle d’observer une minute de silence en hommage aux morts des récents naufrages, l’hymne nationale fut entonnée. C’est en tant que porte-parole du gouvernement que Choguel Maiga a ouvert le bal en rappelant l’importance de la diaspora dans le cœur du président de la République IBK. Il a soutenu que que cet accord « est ce qu’il y a de mieux pour le Mali ».
Le ministre Zahabi Ould Mohamed, très applaudi, a expliqué les avantages de l’accord parfois sous les éclats de rire qui ont accompagné chacune de ses phrases assassines. Il a eu l’honneur de se faire applaudir par une salle assez hétérogène sur l’échiquier politique. Il a conclu avec cette mise en garde : « Ceux qui ne signeront pas l’accord seront punis »
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myntiC'est ce qu'il fallait faire dès le début , donner une grande place à l'information . C'est très important d'informer les maliens de l'intérieur comme de l'extérieur. C'est très important de donner la bonne information au monde entier sur ce qui se passe en réalité dans notre pays. C'est le manque d'information qui avait fait de notre pays le royaume des rumeurs. Comme la nature a horreur du vide , si les officiels n'informent pas c'est la rue qui le fera à leur place. Autrement dit si l'Etat ne se charge pas de donner les informations , ce sont les " radios trottoir" qui le feront à sa place. Que dieu bénisse le Mali
