En un mot : Une histoire d’argent chinois
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Dramane Aliou Koné[/caption]
Le tête-à-tête de mercredi dernier entre le chef de l’Etat et le Premier ministre à Koulouba avait à son ordre du jour la gestion d’une somme d’argent versée par les Chinois au chef du gouvernement qui l’aurait gardée par devers lui au prétexte qu’il lui était personnellement destiné.
L’information, disons la rumeur répandue par des sources proches du parti présidentiel (le RPM), n’a été ni confirmée ni infirmée par des ministres qui reconnaissent néanmoins une forte tension entre les deux têtes de l’exécutif. La rupture est consommée et le RPM s’apprête à engager une motion de censure contre le PM qui aurait exclu la semaine dernière de démissionner et semblait engager un bras de fer avec son chef qu’il a snobé vendredi dernier à son retour d’Accra. Une absence que certains expliquent par une consigne donnée par IBK. En tous cas, les rumeurs ont couru toute la journée d’hier sur la démission de Moussa Mara.
On ignore comment tout cela va finir, mais encore une fois c’est le Mali et les Maliens qui souffrent.
DAK

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SikassoVoleur10 ansRépondreLike (0)
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1FILSDUMALIBAEt je traiterais cette histoire de connerie et simplement de salissage meme si je suis pas un militant politique a plus forte raison un partisan de Mara. DAK vous ne devez la par des histoires de la sorte sans tete ni queue. Vous aussi DAK de grace soyez un peu plus realiste et pro que ca.10 ansRépondreLike (0)
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1FILSDUMALIBAvous savez, disons nous certaines verites. les chicanes entre pre-sident et premier ministre se passent partout dans le monde. Je trouve meme cela normal si l'action permet a un pays d'avancer. Second, est ce que a chaque un foutou pre-sident a besoin que tout un gouvernement soit rassembler lors de ses trips a l'interieur ou a l'exterieur? je pense c'est du gachie, du temps perdu et cela coute enornement au tresor public. Ces ministres n'ont ils pas du travail du faire ou quoi??? Quand un boss part en misssions je crois c'est dans un domaine et but precis donc que seuls les ministres consernes se planter sur le tarmac pour lui dire bye-bye, ka taka seki nogo yaaa et que le Mali en tire profit:mrgreen: . Point final. Si Mara doit etre demis ou demissionne cela ne regarde que nos polit-chiens et leur clans. C'est le Mali qui importe avant tout et mem si ladji doit depose demain pourquoi pas pour le bien du Mali, seulement et seuelement pour le bien du Peuple demission ou pas du PM ou...10 ansRépondreLike (0)
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KassinLe retour des sauterelles! Nous ne le répétons jamais assez que c'est la mal gouvernance qui prend la part belle dans les déboires de l'Afrique d'après indépendance. Certes notre continent souffre de la cupidité et des violences de l'appétit des puissances occidentales dans leur accaparement de nos ressources et dans leur envahissement dans notre sphère culturelle, politique, économique et sociale. Mais tous les pays du monde subissent d'une manière ou d'une autre l'influence voire les pressions de l'extérieur comme de l'intérieur. Les gouvernants sont mis parmi les peuples pour aiguillonner leurs intérêts primordiaux et vitaux pour justement faire face à ces pressions externes et internes pour dessiner encore et encore dans un ballet incessant de politiques et de décisions publiques pour assurer la continuité de la vie de la nation et donner vie aux rêves de prospérité des populations. Sans cette vision de la gouvernance, celle ci devient une partie du problème d'un peuple mais elle ne saurait lui apporter le minimum de solution à ses préoccupations quotidiennes d'existence et de progrès social. En Afrique c'est malheureusement cette gouvernance de non vision qui a pignon sur rue. En 2012, l'état malien s'est effondré parce que ceux qui ont eu en charge de diriger le pays depuis 1991, n'ont pas eu une vision plus claire des enjeux sécuritaires du pays. Ils n'ont pas cru bon de renforcer nos institutions démocratiques et d'assoir solidement l'état face au brigandage financier et à la légèreté dans la vie publique. Quand la géopolitique libyenne a débordé ils ont su qu'ils ont été à côté de la plaque depuis belle lurette. Cet épisode et cette leçon de l'histoire nous avions, un moment, cru que le peuple malien dans sa plénitude avait pris bonne note mais hélas avec le gouvernement IBK-Mara nous sommes estomaqués de constater que cela n'est pas le cas. Brillamment élu à la grande satisfaction de tous les partenaires du Mali, le président IBK lance sa famille à l'assaut de la république et devient le voyageur attitré qui a horreur de dormir à la maison et pourtant c'est la maison qui brûle. Dans cette folie de grandeur entre les capitales du monde alors que le mal à combattre est à la maison, il vire carrément dans une paranoïa dépensière et frauduleuse quand bien même qu'il est à la tête d'un état en faillite. Pour perdurer dans l'erreur, son régime commence d'abord à nier les évidences d'une mauvaise gouvernance manifeste avant de s'y trouver embourber jusqu'au cou. Avaient-ils besoin de cela dans un Mali qui a connu une crise gravissime et multiforme 2 ans plus tôt? Des dizaines voire des centaines de milliards dilapidés en quelques mois pour ensuite venir faire pleurer dans la chaumière, mais sont-ils des enfants ou bien c'est moi qui fais un cauchemar? Des mensonges en série et à des kilomètres à la ronde avec en vedette le premier ministre Mara devant les députés, mais ils se croient où ces gens la? Forcément quand la raison ne prévaut pas, le désordre régnera, nous l'avons déjà vu avec le CNRDRE et ses charniers de Diako et autres environs de Kati et nous le voyons encore aujourd'hui avec le régime IBK et ses surfacturations des marchés publics frauduleux sous le sceau d'un fallacieux secret de defense. Le dilemme sauvage de l'existence de ce régime IBK est désormais soit de sacrifier une partie de la pègre en le livrant à la justice soit de couler tous ensemble comme un malheureux Titanic non pas dans les eaux glaciales de l'Atlantique Nord mais dans le woyowoyanko à Sebenicoro. Dans un état de droit il n'y a aucune collaboration possible sur le déni de droit et l'infraction à la loi. Et quand une bande organisée s'attèle à enfreindre à la loi chez nous et se met à mentir comme elle respire alors l'État prend l'air d'une vulgaire et malpropre secte aussi disgracieuse que le Boko Haram. Il faut que la justice s'affirme chez nous de manière implacable parce que nous ne méritons pas autant de malhonnêteté dont rivalisent nos dirigeants comme des sauterelles déchainés dans nos champ de riz de l'office du Niger et nous avons de la dignité car nous sommes humains et maliens. Et quiconque a vu Modibo Keita vivre sa présidence de la république de 1960 à 1968, dans la dignité, sans changer une seule brique de sa maison paternelle sise à Wolofobougou à Bamako sait de quoi je parle. Salute!10 ansRépondreLike (0)
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OduespQu'est ce vous savez de l'emploi du conditionnel Monsieur l'Editirialiste? Vous parlez de rumeur et vous commencez par une certitude : " la rencontre avait pour objet..." Quand vous êtes traîné en justice vous parlez d'atteinte à la liberté de la presse en oubliant que c'edt vous qui faites atteinte à l'honneur des autres. Alors la déontologie ça existe toujours non? Malgré la certitude ou l'intime conviction.10 ansRépondreLike (0)
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observatrice du mondequelque chose qui n'est pas prouver vous publier sa pour creer encore plus de polemie et de rumeur qui peut porter atteinte a la reputation de quelqu'un le typique des journaliste maliens10 ansRépondreLike (0)