Il faut le dire : Les non dits d’une communication

Fév 12, 2013 - 13:06
Fév 12, 2013 - 13:06
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[caption id="attachment_126754" align="alignleft" width="615"]Les généraux Yamoussa Camara, ministre de la Défense et Ibrahim Dahirou Dembélé, chef d'Etat major des armées Les généraux Yamoussa Camara, ministre de la Défense et Ibrahim Dahirou Dembélé, chef d'Etat major des armées[/caption] Retour sur les propos d’un Général à la lumière des derniers évènements survenus dans notre capitale. On se souvient de la dernière sortie médiatique sur nos écrans du Chef d’état-major général des forces armées du Mali, le Général Ibrahim Dahirou Dembélé. Un fait aura échappé à notre vigilance. L’affaire dite des Bérets rouges portait encore des stigmates et les autorités militaires représentées ici par le Général Dembélé a tôt fait de parler d’une indiscipline caractérisée par les fauteurs de troubles du camp-para, par ces temps d’état d’urgence, avec force détails. Seulement voilà : il y a un autre comportement d’ingérence qu’on ne saurait caractériser ici. Depuis combien de temps déjà l’honorable député Oumar Mariko bénéficie-t-il d’une protection rapprochée de la part des militaires ? De quels corps et quelles unités viennent ces soldats affectés à ce service? Comment sont-ils rétribués ? Pourquoi le député Oumar Mariko bénéficierait-il de cette protection ? On peut trouver des semblants de réponses à ces questions, mais aucune n’aurait eu l’autorité de Chef d’état-major général des forces armées, si tel était son souhait, l’autre soir, lors de sa communication télévisuelle. S. Koné

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