« Docteur Oumar Mariko, une légende vivante »
C’est le titre d’un livre dont le lancement a eu lieu au centre Djoliba de Bamako.c’était samedi dernier, en présence de plusieurs membres, amis et sympathisants du parti Sadi.
L’auteur de ce livre,Aboubacar Eros Sissoko,est un ancien membre de l’AEEM et camarade de lutte de Dr Oumar Mariko.le livre est un témoignage, mais aussi un vibrant hommage que son auteur rend à son ami de longue date.pour M.Sissoko,leur amitié est née bien avant l’avènement de la démocratie.Mais,c’est lors des marches de l’AEEM pour l’instauration de la démocratie que l’auteur découvre les qualités de l’homme qu’il qualifie de combatif,franc mais sincère.Il finit par le considérer,dans son livre comme une « légende vivante ».Dans ce livre,l’auteur met l’accent sur les témoignages.Selon nombre de témoins,Dr Oumar Mariko est , incontestablement, l’un des acteurs principaux des événements de Mars 1991,qui ont balayé le régime dictatorial du Général Moussa Traoré.Avant de devenir un leader politique.L’auteur n’a rien oublié du parcours de l’enfant de Kolondiéba.
La combativité de Dr Oumar Mariko a incité d’anciens membres de l’AEEM à créer « Alternative Mariko 2012 », un mouvement qui entend soutenir la candidature du Dr Mariko aux élections de 2012.Ce mouvement est dirigé par Issouf Albert Touré.
Plusieurs invités, étaient présents parmi eux Victor Sy, qui assurait la police des débats.Ils ont tour à tour salué l’initiative de l’auteur.Avant de rendre à leur tour, un hommage mérité à Dr Oumar Mariko.Le lancement du livre a été marqué par la projection du film sur le parcours de l’ex- leader estudiantin.
Le président du SADI (Solidarité Africaine pour la Démocratie et l’Indépendance) dans son intervention a invité la jeunesse à se mobiliser pour combattre l’injustice, la corruption qui gangrène notre pays.Il a profité de l’occasion pour déclarer sa candidature à l’élection présidentielle de 2012. « Le pouvoir ne se donne pas, il s’arrache, alors arrachons-le démocratiquement » a-t-il déclaré.
ALLAYE SAGARA
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