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Mali : le journaliste Boukary Daou inculpé et incarcéré
Le directeur de publication du quotidien Le Républicain, Boukary Daou, arrêté début mars en raison de la publication d’une lettre ouverte de soldats maliens qui dénonçaient les avantages accordés au capitaine Sanog, leader des putschistes du 22 mars 2012, a été inculpé d’« incitation à la désobéissance » et placé sous mandat de dépôt, ce lundi 18 mars. Me Lamissa Coulibaly, un des avocats de Boucary Daou, se dit surpris par cette inculpation.
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Boukary Daou[/caption]
Boucary Daou a été placé sous mandat de dépôt et transféré du tribunal vers la prison centrale de Bamako. Le procureur de la République n’a pas auditionné le journaliste mais s’est basé sur ses déclarations et ses auditions faites par les services de sécurité de l’Etat malien. Il lui est notamment reproché la diffusion de fausses nouvelles et incitation de crimes et délits, lorsque le journal Le Républicain a diffusé la fameuse lettre d’un militaire qui reprochait au capitaine Sanogo son salaire.
Boucary Daou, en tant que directeur de publication, aurait poussé les forces armées à désobéir à leur hiérarchie. Une première audience est prévue le 16 avril prochain, au tribunal, mais dès aujourd’hui, les avocats du journaliste vont engager une procédure de demande de mise en liberté provisoire.
Joint par RFI, Me Lamissa Coulibaly, un des avocats du journaliste, se dit surpris par la décision du procureur.
Maître Lamissa Coulibaly, Avocat du journaliste Boucary Daou. « J’avoue que je ne comprends pas cette inculpation.’
L’arrestation de Boucary Daou avait entraîné, la semaine dernière, une opération « presse morte » durant trois jours dans le pays.
Depuis le coup d'Etat du 22 mars 2012, l'ONG Committee To Protect Journalists à recensé « 62 violations de la presse à travers le Mali », « des attaques, menaces, tentatives d'assassinat, arrestations arbitraires » qui sont le fait « des mouvements séparatistes et islamistes comme des forces de sécurité gouvernementales ».
Source: RFI
Boukary Daou[/caption]
Boucary Daou a été placé sous mandat de dépôt et transféré du tribunal vers la prison centrale de Bamako. Le procureur de la République n’a pas auditionné le journaliste mais s’est basé sur ses déclarations et ses auditions faites par les services de sécurité de l’Etat malien. Il lui est notamment reproché la diffusion de fausses nouvelles et incitation de crimes et délits, lorsque le journal Le Républicain a diffusé la fameuse lettre d’un militaire qui reprochait au capitaine Sanogo son salaire.
Boucary Daou, en tant que directeur de publication, aurait poussé les forces armées à désobéir à leur hiérarchie. Une première audience est prévue le 16 avril prochain, au tribunal, mais dès aujourd’hui, les avocats du journaliste vont engager une procédure de demande de mise en liberté provisoire.
Joint par RFI, Me Lamissa Coulibaly, un des avocats du journaliste, se dit surpris par la décision du procureur.
Maître Lamissa Coulibaly, Avocat du journaliste Boucary Daou. « J’avoue que je ne comprends pas cette inculpation.’
L’arrestation de Boucary Daou avait entraîné, la semaine dernière, une opération « presse morte » durant trois jours dans le pays.
Depuis le coup d'Etat du 22 mars 2012, l'ONG Committee To Protect Journalists à recensé « 62 violations de la presse à travers le Mali », « des attaques, menaces, tentatives d'assassinat, arrestations arbitraires » qui sont le fait « des mouvements séparatistes et islamistes comme des forces de sécurité gouvernementales ».
Source: RFI Quelle est votre réaction ?
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Rebel<blockquote>Boucary Daou, en tant que directeur de publication, aurait poussé les forces armées à désobéir à leur hiérarchie. </blockquote> de quelle hiérarchie osent-ils parler, ces minables incapables ? peut-on parler de hiérarchie dans une armée truffée d'officiers généraux et supérieurs, tous mis au pas par un petit inculte capitaine, aussi farfelu, antipatriote, et infatué fut-il ? c'est à dormir débout, sans blague ! heureusement qu'on est au Mali... où le ridicule fait naturellement partie du paysage culturel... la-man-ta-ble ! -
REVOLIUTION 1881Bravo a la justice malienne qui vient de prouver sa maturité et engagement pour un juste et équitable. Il nous faut un pouvoir concret et responsable pour libérer le Mali de ces vingt ans de pouvoirs démagogiques et ethniques,ce n est pas seulement ces journalistes qui ont fait de ce métier une forme de malhonnête.Qui sont derrière eux. Traquez tous les politiciens et autres. NB IL EST TEMPS DE POUSSER TOUTS CES POLITICARDS DANS LES PLAQUARD POUR UNE NOUVELLE DE GENERATION DE LEADERS POLITIQUE AU MALI. Traquer il reste encore,les vrais terroristes sont a Bamako, a Dakar a Quagadougou a Abidjan et autre. Malgre que nous allons connaitre une autre de colonisation,mais soyons murs pour les futures élections Soyons optimistes le Mali vaincra. QUE VIVE LE MALI
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Rebel<blockquote>Bravo a la justice malienne qui vient de prouver sa maturité et engagement pour un juste et équitable. Il nous faut un pouvoir concret et responsable pour libérer le Mali de ces vingt ans de pouvoirs démagogiques et ethniques,ce n est pas seulement ces journalistes qui ont fait de ce métier une forme de malhonnête.Qui sont derrière eux. </blockquote> quelle sacrée honte que de vous lire... si le Mali devrait se résumer à votre idéologie bancale, c'est très clair qu'il n’espérera alors aucun avenir... mais fort heureusement que la réalité est à mille lieues de vos fictions des plus illusionnistes...
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Ahmadoune LamineTessougué, toi et ton ministre, qu'est ce que vous attendez pour faire arrêter les militaires qui ont tué des enfants innocents des bérets rouges il y a de cela juste quelques semaines? Répondez moi, Monsieur le procureur? les crimes ne sont-ils plus punis au Mali? Ou sont-ils au dessus de la loi ces militaires là? Si un journaliste est arrêté pour ses écrits qui pourraient"inciter à la désobéissance", alors que dire de ces militaires assassins, connus de toi et de ton ministre? Pourquoi vous-taisez-vous à ce sujet? Ces enfants qui ont été tués ne sont-ils pas des maliens? Vous me décevez,Monsieur le procureur! Et dire que j'avais placé en vous toute ma confiance. Mais je m'étais simplement trompé. Vous êtes finalement tous pareils, toi, ton ministre et le capitaine Sanogo. Contactez vos anciens professeurs, ça m'étonnerait qu'ils soient fiers d'avoir formé un tel procureur. Posez la question à vos enfants: ce qu'ils pensent d'un crime impuni? Le vérificateur n'avait vraiment pas tort
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REVOLIUTION 1881Mon cher Lamine il faut noter meme si les ennemis du Mali sera les nouveaux nes ou les foetus nous les eliminerons pour un Mali Unis. Ca ne fait nque commencer QUE VIVE LE MALI :
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Donko2Malheureusement, cette affaire révèle encore une fois de plus une triste réalité au pays. A savoir, la capacité physique, intellectuelle et morale pour Dioncounda de diriger un pays mais surtout une transition censée baliser le socle d'un nouvel ETAT, basé sur des valeurs fondamentales de respect des libertés individuelles et collectives, l'Etat de droit, la lutte contre l'impunité et la corruption, mais hélas! D'abord j'indexe notre Assemblée Nationale, qui une fois de plus a péché par laxisme, incompétence et le manque de sens élevé de responsabilité et d'anticipation. Quand Dionkounda est revenu de sa convalescence de Paris, l'AN devrait saisir la cour constitutionnelle du MALI pour s'assurer de la capacité réelle de Dioncounda à diriger un pays après qu'il ait reçu la visite des membres YEREWOLOTON à KOULOUBA. Pour ce faire, une équipe composée de médecins spécialistes, des psychologues et aux besoins des sociologues devraient être mis en contribution pour examiner soigneusement D.
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Donko2Suite... Ce faisant, notre AN aurait accompli sa mission de contre pouvoir en même rehausser l'image de notre démocratie fut-elle de façade. Aujourd'hui, les maliens doivent s'interroger si leur président jouit de toutes ses facultés mentales pour exercer la plénitude de ses pouvoirs mais beaucoup ne sont pas conscients de cette réalité. Ensuite, ce n'est pas parce que Dioncounda a eu l'intelligence de demander secours à Hollande qu'il est en sainteté d'esprit, non mes concitoyens. Le passage de YEREWOLOTON à KOULOUBA a fait plus de mal que l'on imagine puisque même les déficients mentaux commettent parfois des actes normaux, pourtant ils ne sont pas traités. Enfin, attendons voir car Dioncounda va commettre une grave erreur de gestion prochainement que les maliens vont enfin comprendre son incapacité notoire et il l'a commencé par une déclaration su RFI où il traitait des milices autodéfense de folklore n'est-ce pas? Ne disait-il pas que le MNLA est fréquentable alors que l'AN......
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alkerou:mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: bien fais :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
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JusteOn ne peut qu'être estomaqué quand on constate que la priorité est à la traque des journalistes, et non aux combats qui font rage entre les jihadistes et les troupes tchadiennes et françaises venues soutenir le Mali. On ne peut que se sentir en colère, quand on sait ce que taisent les journalistes pour préserver ce qui reste de dignité à l'armée. On est affligé de constater que, pour certains « ronds de cuir » de Bamako, il vaut mieux traquer le moindre écrit séditieux et s'en prendre à ceux qui osent les diffuser. De toute évidence, il vaut mieux casser une plume, que d'affronter les balles des jihadistes.
