Le leader de l'ex-junte n'a pas été investi chef de la transition
[caption id="attachment_68988" align="alignleft" width="350" caption="Le président malien par intérim Dioncounda Traoré (g) et l'ancien chef de la junte militaire Amadou Sanogo, le 12 avril 2012 à Bamako © AFP"]
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BAMAKO - Aucune rencontre n'a eu lieu jeudi entre le leader de l'ex-junte au Mali, le capitaine Amadou Sanogo, et les partisans du putsch qui entendaient l'investir comme chef de la transition à la place de l'actuel président Dioncounda Traoré, selon un journaliste de l'AFP.
"La rencontre d'aujourd'hui (jeudi) avec le capitaine n'a pas eu lieu", a simplement déclaré à l'AFP Hamadoun Amion Guindo, président de la Coordination des organisations patriotiques du Mali (Copam, pro-putsch).
Le journaliste de l'AFP, présent jeudi au quartier général de l'ex-junte à Kati (près de Bamako), n'y a vu jusqu'en milieu d'après-midi aucun responsable de la Copam.
Lors d'un meeting mercredi à Bamako, des partisans du putsch se réclamant de cette coordination avaient annoncé qu'ils se rendraient le lendemain à Kati pour investir le capitaine Sanogo. Jeudi, M. Guindo a assuré que la Copam n'était pas associée à l'organisation du rassemblement.
Selon M. Guindo, la Copam est en train d'"analyser la suite de la convention nationale" tenue les 21 et 22 mai, et à l'issue de laquelle des participants ont désigné le capitaine Sanogo comme chef de la transition, récusant le pouvoir de Dioncounda Traoré.
Le chef des ex-putschistes n'a, depuis lors, pas réagi à cette annonce.
M. Traoré a bouclé mardi son intérim de 40 jours fixés par la Constitution malienne et, en vertu d'un accord trouvé entre la médiation ouest-africaine et le capitaine Sanogo, il demeure au pouvoir pour une transition d'un an.
Lundi, des manifestants pro-putsch avaient pénétré dans les bureaux de M. Traoré et l'avaient frappé. Il a été blessé, sans qu'il n'y ait de lésion grave d'après ses examens médicaux, et brièvement hospitalisé. Il est arrivé jeudi en France pour un séjour médical privé.
AFP / 21:53 - 24/05/12

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mogonifinJe crois plutôt qu’avec l’agression de Mr Dioncouda Traoré, il y a des zones d’ombres qui suscitent beaucoup d’interrogations. Quand les manifestants sont arrivés au palais de Koulouba il y avait beaucoup de gardes présidentielle qui avaient formés des lignes infranchissables, et il en avait aussi à l’entre même du palais. Quand Mr Dioncouda Traoré décida de recevoir les manifestants, seuls quelques-uns furent autorisés à aller lui parler et en compagnie des gardes qui était postés à l’entrer même du palais. Et personne d’autre n’a franchi les lignes gardées par les gardes présidentielles. Après que les manifestants qui furent autorisé à aller parler avec Mr Traoré, ils sont sortis pour annoncer qu’il a accepté la démission et après le compte rendu les manifestants sont retournés. Et c’est quand nous étions au niveau du parc géologique qu’on a entendue des coups de feux. Et tout le monde a voulu en savoir plus on est remonté en courant. Surprise, on nous apprend que certaines manifestants on agresser Mr Dioncounda Traoré. la première version qu’on a eu droit est que certaine manifestant se sont cacher dans les fleurs et qu’après le départ des autres qu’ils se sont précipités dans le palais pour agresser Mr Traoré. Ce qui était faut pour tout ce qui se trouvait sur place, aucun manifestant ne pouvait s’approcher au palais sans traverser les lignes des gardes présidentielle et pires franchies les gardes entassés à l’entrée du palais. Et une deuxième version faite son apparition, On nous dit que non, que certaine manifestant sont entrés par l’arrière du palais à l’insu des gardes. Dans ce cas il y a beaucoup de question sans réponse. Pourquoi il n’y avait pas des gardes à l’arrière du palais ? S’il n’avait pas de gardes, la ou les portes devaient obligatoirement être fermer a clé, dans ce cas qu’elles sont la ou les personnes qui ont ouvert la porte pour les conduire les manifestants au bureau de Mr Traoré ? Qui a donc monté ce coup d’agression, et pourquoi ? Si c’est les militaires comme pense beaucoup de personne, la question est de savoir si le capitaine est complice ou pas, si oui il joue vraiment un jeu très dangereux, sinon ça veut dire que dans son troupe il y a des soldats qui ne partagent pas son ralliement avec la CEDEAO, et dans ce cas c’est la vie même du capitaine qui est en danger. Et la dernière hypothèse est de savoir si c’est le FDR et la CEDEAO qui ont manigancés cette agression. Si oui, ils ont réussi un joli coup, et chapeau. Mais c’est une bombe à retardement qu’ils ont placé à Koulouba. Dans ce cas la question est de savoir si Mr Dioncounda Traoré est victime ou complice de son agression ? Une chose est certaine, une personne capable de tirer sur les manifestants comme la bien dit le premier ministre à la télé, est aussi capable d’agresser un président et faire porter le chapeau aux manifestants. Au mali tout fini par se savoir. Je condamne l’agression et présent mes condoléances aux parents des défunts manifestant, bien que personne ne le fasse jusqu’ici. Je félicite le gouvernement de l’ouverture d’une enquête, je suggère seulement que si c’est réellement la vérité qu’il cherche sur cette histoire d’agression, je leur demande d’associer la société civile à l’enquête, et publier les photos des défunts manifestant avec leurs noms et adresses. Si cela est fait, la vérité éclatera en moins d’une semaine. Au Mali tout le monde sait qui est qui.13 ansRépondreLike (0)
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la MAIN DE DIEUHAYa doit se manifeste , pour montre au malien k la corruption , les loi dictees par la CEDAO est une honte pour le peuple malien . En consequence il doit prendre le pouvoir pour le bien etre de la population et raser touts les anciens crocodile ( modibo sidibe , adema , somaila etc) . Il est que temps les maliens se reveillent face a des gens qui pensent leur propre interets.13 ansRépondreLike (0)
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helloACCUEIL / LE PRIX IBRAHIM Le prix Ibrahim est décerné à un ancien chef d'État ou de gouvernement africain, élu démocratiquement, ayant quitté ses fonctions au cours des trois dernières années dans le respect des normes établies par la constitution nationale et ayant fait preuve d'excellence au cours de son mandat. Le prix se présente sous la forme d’un montant de 5 millions de dollars (2.611.921.060. f cfa) sur dix ans complété par 200 000 (104.476.842.) dollars versés chaque année, à vie. C’est le prix annuel le plus richement doté au monde. La Fondation peut envisager une dotation annuelle supplémentaire de 200 000 dollars, pendant dix ans, pour des activités d’intérêt public ou des grandes causes soutenues par le lauréat. Le lauréat est choisi par un Comité d’attribution du Prix indépendant, nommé par le Conseil d’administration de la Fondation. L’importance d’un leadership de très haut niveau en Afrique subsaharienne ne saurait être trop soulignée. Les difficultés sont immenses et les ressources disponibles au sein de l’Etat pour les résoudre souvent limitées. Il est donc essentiel d’identifier et de distinguer les efforts des dirigeants qui réussissent à surmonter ces handicaps pour faire progresser leur pays, hisser leurs concitoyens hors de la pauvreté et ouvrir la voie à la prospérité et au succès. Le Prix Ibrahim contribuera également à faire en sorte que l’Afrique ne perde pas l’expérience et l’expertise de ses meilleurs dirigeants quand ils quittent leur mandat national, en leur donnant les moyens de continuer à jouer un rôle public dans un autre registre. L’un des meilleurs choix d’allocation de ses moyens consiste à conforter les leaderships d’excellence sur le continent, en distinguant et en célébrant les personnalités qui ont joué un rôle crucial et déterminant pour l’avenir de leur pays. Par rapport aux 25 milliards de dollars déversés sur l’Afrique subsaharienne par les pays du G7 pour la seule année 2008, la Fondation considère que le montant du Prix Ibrahim est un investissement infime. Mais attribué à un individu qui a su démontrer sa capacité à servir le continent, le bénéfice de cet investissement peut être considérable. Lauréat Récent du Prix Ibrahim Festus Gontebanye Mogae Festus Gontebanye Mogae a été le troisième Président du Botswana entre 1998 et 2008. Il a été élue Président en avril 1998 en tant que chef du Parti Démocratique du Botswana et à gagner une seconde éléction en 2004. VOIR TOUS LES LAUREATS DU PRIX : allez sur le site, j'espère que le futur président démocratiquement élu sera un lauréat de cette immense fortune à dépenser dans la quiétude et la dignité13 ansRépondreLike (0)
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Generation-SankaraLE CHAOS EST DEJA LA. LE MALI EST EN LAMBEAUX. NOUS SOMMES TOUS COUPABLES! LES MALIENS DE L'EXTERIEUR N'ONT FAIT QU'ENVOYER DE L'ARGENT SANS EXIGENCES DE RESULTAT ET D'EXCELLENCE. LES VOYOUS DE LA REPUBLIQUE SE SONT ENRICHIS SUR LE DOS DE LA MERE NOURRICIERE: LE MALI LES CITOYENS DANS LEUR IGNORANCE LES ONT ENCENSES EN Y APPORTANT MEME UNE JUSTIFICATION DIVINE: C'EST DIEU QUI A FAIT QU'ILS DEVIENNENT RICHES. NON FRERES ET SOEURS, QUICONQUE S'ENRICHIT SUR LE DOS DU PAYS VOUS VOLE AUSSI! VOUS AVEZ VENDU VOS VOIX, VOTRE CONSCIENCE, VOTRE VERITABLE ARME LORS DES DIFFERENCES ELECTIONS CONTRE DES T-SHIRT, DES PAQUETS DE THE, DES JAKARTA, ETC. AUJOURD'HUI NOUS PAYONS TOUS LE PRIX FORT! NOUS DEVONS NOUS EN PRENDRE A NOUS-MEMES ET A SE METTRE AU TRAVAIL. DE PAR NOTRE FAUTE INDIVIDUELLE, CHACUN A SON NIVEAU, NOUS AVONS FAILLI. CHACUN(E) N'A QU'A REFLECHIR, A TIRER DES LECONS,HUMILIANTES CERTES,ET A SE METTRE AU TRAVAIL EN BALAYANT DEVANT SA PORTE D'ABORD! SI CHACUN BALAIE DEVANT SA PORTE LE QUARTIER SERA PROPRE. LE PAYS AUSSI, PAR EXTENSION!13 ansRépondreLike (0)
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BATHIODr. Mariko n’a qu’a donnez des ordres et nous on l’executerai inchalaou. Notre combat est deja gagner car Djonkounda est hors jeu maintenant. Mariko vous etonne aujourdh’ui parce que vous ne l’avait pas connu hier. Tres claire il tiennait les meme propos depuis que Alpha etait au pouvoir, d’avoir de la pitier pour les pauvres en leur donnant justice, egalite, sante, education etc… On ne voulait pas encore cette main de Dieu sur Djonkounda, mais ce qui c’est passer est son destion et le Mali vas continuer…13 ansRépondreLike (0)
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AbdoulayeDésolé, Mr. BATHIO, détrompez vous, tous les maliens connaissent Mariko, meme en déhors du Mali, c'est vous seul qui ne l'ai pas connu, qui ne le connait pas et qui ne le connaitra jamais. Mariko est l'énnemi numéro un de ce pays, l'éternel étudiant, quelqu'un qui ne grandi pas, quelqu'un qui pense qu'il est au centre de la terre, moi avec mes idées destructrices ou le chaos. Quoi que vous, Mariko et consorts vous fassiez, Dieu a voulu que Dioncounda dirige le Mali, c'est la volonté de Dieu, ce ne sont pas des minables aigris sociaux comme vous, qui pensent que leur malheur est la faute des autres qui empêcheront cela. Alors taisez vous et gardez profil bas car vous condamnez, vous cassez, mais vous n'avez rien de constructif à proposer pour le bonheur de ce pays, notre pays que Dioncounda et les vrais patriotes aimons tant. Arrêtez de vous confondre avec le peuple, vous ne représentez rien, une goutte d'eau dans l'océan.13 ansLike (0)
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moussa agLE MATCH SANOGO VS MARIKO DEVIENT INTERESSANT... Pour souhaiter bon weekend a tous les maliens et maliwebiens, moussa ag a cree une photo illustrant la situation....rien d’offensif…juste un peu d'humour …dans le contexte actuel ca ne fera certainement pas de mal... http://flic.kr/ps/2d62tC A partager a vos propres risques...les badeaux ne blaguent pas quand on s'amuse au depend de leur chef Moussa Ag, qui remercie celui qui a eu la creativite et le sens de l'humour de creer cette photo...moussa y a juste ajoute le joli cadre et les commentaires13 ansRépondreLike (0)