Focus : Modibo déçoit !
Le 8 janvier dernier, les Maliens apprennent avec beaucoup d’espoir la nomination de Modibo Keita au poste de Premier ministre. Il remplaçait Moussa Mara, ce Premier ministre par défaut, qui lègue un bilan chaotique, qui ne mérite ni encre, ni salive.
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Le PM Modibo Keita[/caption]
A 73 ans, Modibo Keïta arrivait certes avec un gros handicap : l’âge avancé. En revanche, il bénéficiait de préjugés favorables grâce surtout à sa forte personnalité et sa grande expérience. Pour de nombreux Maliens, après Oumar Tatam Ly, IBK avait certainement trouvé l’homme idéal, capable de conduire les affaires de l’Etat, à défaut de mettre en œuvre le projet de société, puisque le chef de l’Etat n’en dispose point. IBK a, en effet, été élu coup de (simples) slogans de campagne.
Dès sa prise de fonction, les premières actions de Modibo Keïta ont conforté les Maliens. Le nouveau Premier ministre a posé les jalons de la rupture d’avec les méthodes populistes de Mara. Une rencontre avec les acteurs politiques, notamment les leaders de l’opposition, a marqué les esprits. Elle est intervenue dans un contexte où la majorité et l’opposition étaient presque au bord de la rupture. Après ce premier pas de concertation et d’implication de l’ensemble de la classe dans la gestion des dossiers d’intérêt national, l’on était alors en droit d’attendre du Premier ministre beaucoup d’autres actions afin de donner vie (enfin) au mandat d’IBK: réconciliation, lutte contre la corruption et la délinquance financière, relance économique, sécurisation du pays, ouverture de chantiers de développement…
Cependant, force est de constater que l’espoir suscité par la nomination de Keïta s’est estompé aussi vite qu’il était apparu. En effet, la réalité est là. Implacable ! Après environ trois mois de présence à la Primature, Modibo n’a pas su imprimer un vrai rythme à l’action gouvernementale. Un gouvernement moche, incapable de faire face aux préoccupations des Maliens. Le pouvoir d’achat des familles s’érode, les prix flambent, l’administration est sur cale…D’où, la naissance de nombreux foyers de tension, notamment dans le milieu syndical. Au lieu d’une véritable politique gouvernementale, Modibo et son équipe excellent dans le saupoudrage, voire le pilotage à vue, là où il faut faire preuve d’anticipation et de sens de créativité.
A ce rythme, il faut craindre que la machine gouvernementale, déjà grippée, ne se bloque définitivement.
C.H. Sylla
Le PM Modibo Keita[/caption]
A 73 ans, Modibo Keïta arrivait certes avec un gros handicap : l’âge avancé. En revanche, il bénéficiait de préjugés favorables grâce surtout à sa forte personnalité et sa grande expérience. Pour de nombreux Maliens, après Oumar Tatam Ly, IBK avait certainement trouvé l’homme idéal, capable de conduire les affaires de l’Etat, à défaut de mettre en œuvre le projet de société, puisque le chef de l’Etat n’en dispose point. IBK a, en effet, été élu coup de (simples) slogans de campagne.
Dès sa prise de fonction, les premières actions de Modibo Keïta ont conforté les Maliens. Le nouveau Premier ministre a posé les jalons de la rupture d’avec les méthodes populistes de Mara. Une rencontre avec les acteurs politiques, notamment les leaders de l’opposition, a marqué les esprits. Elle est intervenue dans un contexte où la majorité et l’opposition étaient presque au bord de la rupture. Après ce premier pas de concertation et d’implication de l’ensemble de la classe dans la gestion des dossiers d’intérêt national, l’on était alors en droit d’attendre du Premier ministre beaucoup d’autres actions afin de donner vie (enfin) au mandat d’IBK: réconciliation, lutte contre la corruption et la délinquance financière, relance économique, sécurisation du pays, ouverture de chantiers de développement…
Cependant, force est de constater que l’espoir suscité par la nomination de Keïta s’est estompé aussi vite qu’il était apparu. En effet, la réalité est là. Implacable ! Après environ trois mois de présence à la Primature, Modibo n’a pas su imprimer un vrai rythme à l’action gouvernementale. Un gouvernement moche, incapable de faire face aux préoccupations des Maliens. Le pouvoir d’achat des familles s’érode, les prix flambent, l’administration est sur cale…D’où, la naissance de nombreux foyers de tension, notamment dans le milieu syndical. Au lieu d’une véritable politique gouvernementale, Modibo et son équipe excellent dans le saupoudrage, voire le pilotage à vue, là où il faut faire preuve d’anticipation et de sens de créativité.
A ce rythme, il faut craindre que la machine gouvernementale, déjà grippée, ne se bloque définitivement.
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BathioNous sommes les nouveaux patriotes maliens qui venons d'être tout juste née. Nous avons 20 ans au minimum à notre naissance et on as vraiment les mains très propres pour diriger ce pays. <strong>Mon nom est FDR & ASSOCIATES</strong> Voici le programme de changement que nous proposons pour la sortie de crise du Mali: <strong> -- </strong> C'était IBK lui-même qui tenait le AK47 dans le restaurant la Terrasse. <strong> -- </strong> C'est le même IBK qui a brulé vif les deux mineurs a GAO. <strong> -- </strong> C'est IBK qui a autorisé l'Accord d'Alger 2006 pour démilitariser tout le nord. <strong> -- </strong> C'est IBK qui a plongé le Mali dans sa plus grande crise sociaux-économique <strong> -- </strong> C'est IBK encore qui avait ordonné le coup d'Etat a Sanogo pour régler ses comptes avec ATT. <strong> -- </strong> C'est IBK qui a pactise avec IYAD dans ses projets de drogues et de prise d'otages. <strong> -- </strong> C'est IBK qui a gratter ciel et terre pour qu’il est embargo sur notre fasso a plusieur reprise. Et il continue toujours dans ce sens à travers ses propriétés de medias journaleux qui transforment du vrais en faux et du faux en vrais. <strong> -- </strong> C'est IBK qui a grader 78 militaires au rang de General, plus nombreux que l'armée américaine <strong> -- </strong> C'est IBK qui a acheté l'Avion présidentiel pour ses seuls luxes, même si c’est enregistrer au nom du Mali <strong> -- </strong> C'est IBK qui a tué les deux journalistes de RFI. <strong> -- </strong> C'est IBK qui nous empêche de bouger nos …. pour dénicher ses terroristes <strong> -- </strong> C'est IBK qui est entrain de nommer ses parents MALIEN aux différents postes du pays, même si aucune de ses personne n'ont pas le même nom de famille : KEITA. On s’en fout <strong> -- </strong> C'est IBK qui m'empêche de respirer maintenant wallaye, car on arrive plus à faire nos AFFAIRES comme dans le passé. <strong> -- </strong> C'est IBK qui……………… <strong> -- </strong> C'est IBK qui…………..... <strong> -- </strong> C'est IBK quand il nous tiens de la gorge… <strong> -- </strong> Enfin c'est IBK qui est vraiment la combinaison MNLA+HCUA + France ET/OU en realite = NON RETOUR AU STATUS QUO. <strong> SOS, LE MALI NE PEUT ETRE BIEN GERER QUE PAR NOUS OPPOSITION, OU PAR NOUS SINON NOUS OPPOSITIONS VONT (non je veux dire IBK VAS) VONT CHERCHER A LE DETRUIRE </strong> -
1FILSDUMALIBALaissons un peu le temps faire les choses et Nous jugeons tous et toutes le PM Keita meme s'il traine les pattes dans la situation actuellement meme le president lui se sauve tres souvent du Mali en se bronzant dans son boieng alors. Soit on attend quand ils voudront ils feront soit en rentre en ACTIONS et maintenant :mrgreen: :wink: .
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luiau contraire ce journal déçoit!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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nfpJérémie Dako "ce qui est étonnant et égoïste,c’est que l’article n’a pu rien nous détailler de ce qui n’avance pas." :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: Sous Ibk, comment veux-tu qu'un journaliste (quel qu'il soit) puisse dresser la liste de "ce qui n'avance pas"? :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: Il est infiniment plus simple (et surtout plus rapide!) de dresser la liste de CE QUI A AVANCE sous Zonkeba 1er! :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen: Fais l'essai toi-même, tu verras! :lol: :lol: :lol: :lol:
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oumar DiarraAU MALI ON CONFOND LES ANIMATEURS AUX JOURNALISTES
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Jeremy Dakoce qui est étonnant et égoïste,c'est que l'article n'a pu rien nous détailler de ce qui n'avance pas. Grâce à l'action gouvernementale que ce journaliste a toute la liberté de nous raconter des bobards.
