[Vidéo] Déclaration du président du CNRDRE Amadou Sanogo et du médiateur Djibril Bassolé (Burkina Faso)
« Accord-cadre »: La junte accepte le retour à l'ordre constitutionnel. Levée des sanctions par la CEDEAO
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AchillURGENT!!! je demande a tous les formistes,si quelqu'un se rappelle d'un prédicateur qui disait que Dioncounda sera le prochain président du Mali,il avait aussi prédit des jours meilleurs pour le Mali,il y a de cela une ou deux ans L ARTICLE ÉTAIT SUR MALIWEB malheureusement pour moi,j ai oublié le Nom du Prédicateur,j ai fait toute les recherches possible j ai pas retrouver l'article si quelqu'un peut me donner le Nom du prédicateur ou me retrouver l'article,ca me fera un grand plaisir Merci d'avance13 ansRépondreLike (0)
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curieuxLe coup d'état des putschistes était prémédité.Certains soldats portent un badge avec écrit dessus "Sanogo président".Pour faire ce badge il faut du temps donc il a fallu le commander .13 ansRépondreLike (0)
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koudisSlt Apema, tu dois avoir un sacré problème toi :lol: :lol: :lol: :lol: nous nous cherchons à sortir de cette crise et dès que c'est ok tu parles toi de poursuites :lol: :lol: :lol: L'Europe a changé ta tête hein :-D :-D :-D13 ansRépondreLike (0)
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Lynx22Dans un meme pot, on ne peut pas cuire deux plats differents.Les maliens doivent maintenant choisir entre l'AVENIR et la CORRUPTION...13 ansRépondreLike (0)
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coco........... tout simple .................pas besoin de grand discours !13 ansLike (0)
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vision-2012Comprendre ce qu'a fait ATT au Mali. Posté par Seydiak gound le 25/24/2212 à 22H59 GAMOU DEFENDAIT SA BRADE DE THE ET SON AMI ATT NON LA PATRIE MALIENNE La haute trahison est le premier des deux chefs d’inculpation retenus par les militaires putschistes contre l’ancien président, Amadou Toumani TOURE, sur qui pèsent effectivement de lourdes charges dans ce sens, notamment avec la trahison de son serment de président de la république, la signature des accords scélérats et alambiqués de 2226, sa forfaiture et son complot contre l’Etat avec des individus de la trempe de El hadji Gamou,… ATT ne devrait pas objectivement échapper au jugement des hommes. En parlant de haute trahison, l’on cherche à établir, de prime abord, la corrélation entre les attributs présidentiels ; mais également et surtout, son engagement exprimé à travers un serment et les actes qu’il a eu à poser dans l’exercice de ses fonctions. Il s’agit donc d’établir, par les faits, la violation par le président de la république de son serment dont le socle n’est rien d’autre que les attributs officiels que lui consacre la Loi fondamentale du pays. La haute trahison, de ce fait, si il elle ne fait pas l’objet d’une définition juridique standard, repose néanmoins toujours sur deux piliers essentiels: l'attentat à la sûreté de l'État et l'intelligence avec l'ennemi. La base de la trahison d’ATT Ainsi, selon la Constitution du 25 Février 1992, Titre III, Article 29, il est clairement dit : « Le président de la République est le chef de l’Etat. Il est le gardien de la Constitution. Il incarne l’unité nationale. Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire, du respect des traités et accords internationaux. Il veille au fonctionnement régulier des pouvoirs publics et assure la continuité de l’Etat». L’article 37 de la même Constitution stipule : « Le président élu entre en fonction quinze jours après la proclamation officielle des résultats. Avant d’entrer en fonction, il prête devant la Cour suprême le serment suivant : « Je jure devant Dieu et le peuple malien de préserver en toute fidélité le régime républicain, de remplir mes fonctions dans l’intérêt supérieur du peuple, de préserver les acquis démocratiques, de garantir l’unité nationale, l’indépendance de la patrie et l’intégrité du territoire national. Je m’engage solennellement et sur l’honneur à mettre tout en œuvre pour la réalisation de l’unité africaine. » Autant au niveau des charges du président de la république que du serment qu’il prête devant Dieu et le peuple malien, deux points sont exprimés avec force constance, à savoir l’unité nationale et l’intégrité du territoire. C’est justement de ces deux questions que ATT devra répondre prioritairement lui qui a failli en cela sur toute la ligne. Il est dit dans les textes que le président de la république incarne l’unité nationale ; mais quelle unité ATT a-t-il pu incarner si ce n’est celle de son clan et celle des prébendiers toujours plus assoiffés de profits qui ont fini par creuser sa tombe. Ce, en voulant «retrouver ce qui nous unit». Il faudrait plutôt dire ce qui les unit parce qu’ils étaient les seuls à savoir véritablement le substrat naturel de leur modus vivendi. Tout en prêchant un semblant d’unité nationale qui a trouvé un terreau fertile dans le consensus-unanimisme, sans goût ni saveur, le peuple, le bas peuple, l’écrasante majorité des Maliens, avec lequel Koulouba était réellement en déphasage, continuait à être traité en grands enfants, si ce n’est en bourrique avec des leurres consistant en des belles routes de courte durée de vie, des logements sociaux cédés à des taux usuriers et le plus généralement à des personnes de préférence…L’unité nationale que devait incarner l’ancien président ATT n’était en réalité qu’une unité bancale et de façade qui n’a pas résisté à la première bourrasque. L’intégrité vendue Quid de l’intégrité du territoire national? La pilule la plus amère à avaler pour tous ceux qui s’appellent Maliens, tous ceux qui sont prêts à traduire en acte ce passage de l’hymne national «… Débout sur les remparts, nous sommes résolus de mourir, pour l’Afrique et pour toi, Mali… », c’est la partition de fait, par ATT, et sa foultitude de généraux, du territoire national à travers les accords d’Alger de 2006. Pour faire plaisir à des irrédentistes touareg, insatisfaits devant l’Eternel, ou en complotant avec eux contre la nation malienne, le généralissime-président d’alors n’a pas hésité à poser tous les jalons qui allaient favoriser, non plus la revendication d'une autonomie du Nord, mais purement et simplement la création d’un Etat de l’Azawad. Nul acharnement contre l’ancien président ATT ; mais en tant que général de l’armée, à moins que ses galons ne soient usurpés, c’est qu’il savait la portée de ce à quoi il s’engageait avec les rebelles de Thegarghar en 2006 et ce à quoi il engageait par la même occasion le Mali. Malgré le13 ansRépondreLike (0)
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moussa agJ'ai failli lire mais quand ca commence avec "La haute trahison est le premier des deux chefs d’inculpation retenus par les militaires putschistes contre l’ancien président, Amadou Toumani TOURE,...", ca decourage. Les putchists eux meme ont commis un acte de haute trahison. Ils ne sont pas les mieux paces pour accuser ou juger. Dans un "system democratique", Ils n'y a pas plus haute trahison qu'un coup d'etat aux yeux de ceux, nous autes et l'opinion international, qui n'ont pas les memes informations que toi tu sembles avoir...c'est ca le probleme. Moussa Ag13 ansLike (0)
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cosmopoliteEnfin ces commenditaires du coup d´état le plus sot, le plus idiot, le plus bête, le plus incensé que le monde n´ait connu ont eu la sagesse de quitter le pouvoir. Nous osons espérer que les transitaires pourront par la voie du dialogue ou si nécessaire par la force feront revenir le MNLA dans la république une,indivisible et non-raciste du Mali.13 ansRépondreLike (0)