[caption id="attachment_57135" align="alignleft" width="200" caption="Jeamille Bittar"]

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Selon nos informations un responsable politique d’ailleurs membre influent du Mouvement Populaire du 22 mars a laissé entendre récemment que le salaire du Président du CESC était de 13 millions de FCFa par mois. Selon des sources concordantes, le salaire de M. Jeamille Bittar est de 383 000FCFA sans ses indemnités.
Que comprendre dans ce comportement si ce n’est de la haine viscérale ? Le Président du CESC n’a-t-il pas été humilié par le même régime ATT lorsqu’il a été convoqué au pôle économique comme un « malfrat » », explique un proche. Cet autre sympathisant qui nous a contactés se dit désolé et indigné par de telle attaque à un moment où le pays est menacé, occupé et notre dignité bafouée.
« Ce n’est pas le moment de tenter salir des gens comme Bittar qui ont fait leur preuve dans ce pays. Mieux, à Bittar Impression comme dans certaines de ses sociétés, il a des travailleurs (15 au moins) qui gagnent plus d’un Million de FCFA par mois. En réalité ce responsable politique mélange els pédales et s’il continue comme cela, il n’arrangera pas la junte ».
Nous devons éviter la haine et la chasse aux sorcières.
A propos du stock alimentaire suffisant
De la poudre aux yeux des maliens
Mercredi dernier sur les antennes de l’ORTM, le Directeur National de la DNCC, s’est permis de dire que notre pays a des réserves alimentaires suffisantes qui nous permettent de tenir des mois durant. Après vérification, il s’est trouvé que ce sont des chiffres théoriques qu’il a avancé, sinon, avant même la chute du régime ATT, la famine menaçait notre pays qui a appelé à l’aide. Que comprendre dans de tel comportement ?
La CCIM au secours des opérateurs économiques du nord
C’est la décision prise par son instance dirigeante après les pillages et els pillages subis par nos opérateurs de Kidal, Gao et de Tombouctou. Outre les familles sinistrées et victimes, la CCIM s’apprête rapidement à envoyer son appui au nord. Ce sera le second acte majeur qu’elle pose vingt et quatre heures après avoir rassuré les populations que les prix des denrées n’augmenteront pas.