Ber : le camp de la MINUSMA attaqué
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Reuters/Reuters - Patrouille de casques bleus à Kidal, dans le nord du Mali. Un militaire tchadien de la force onusienne de maintien de la paix au Mali a été tué samedi lors d'une attaque contre une base de la Minusma à Kidal. /Photo d'archives/REUTERS/Adama Diarra[/caption]
Aujourd’hui peu après 15h, le camp de la MINUSMA à Ber a été la cible d’une dizaine de tirs d’obus.
Cette attaque intervient au moment où une délégation composée de personnel civil de la Mission, accompagnée de représentants des autorités locales et de la société civile, assistait à la libération de 10 personnes détenues jusqu’alors par la Coordination.
L’attaque n’a pas fait de victimes et la libération a pu s’effectuer sous la protection de la Force de la MINUSMA.
La MINUSMA condamne avec force et vigueur cette nouvelle attaque terroriste.
« Ces actes n’affecteront en rien notre détermination à poursuivre la mission que le Conseil de Sécurité nous a confiée », a déclaré le Représentant spécial du Secrétaire général, M. Mongi Hamdi.
Source: MINUSMA

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SikassoTraitre10 ansRépondreLike (0)
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Malidewn de São PauloCette mission n'est pas crédible. Quand le Mnla tue rfi , tv5 et France 24 n'existent pas quand la force légitime du Mali tue les apatrides ...les narcotrafiquants du Mnla l'article est a la une ...il est temps que les Maliens ouvrent les yeux. Une complicité internationale contre le Mali.. Sauf le bon dieu sauve le Mali10 ansRépondreLike (0)
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TibiQuand la MINUSMA est attaquee,la MINUSMA doit contre-attaquer.C'est par l'elimination des hors-la-loi qu'on arrive en temps de guerre d'etablir progressivement la paix.La MINUSMA est armee dans ce but.Puisqu'il y a la Barkhane qui officiellement fait partie des forces de pacification des Nations Unies , a mission d'attaquer les rebelles jihadistes et aussi tous ceux qui refusent de se soumettre aux decisions du Conseil de Securite,j'estime que l'implication de la MINUSMA pendant cette periode de recrudescence des attaques des rebelles contre les villages isoles ne viole pas la strategie du Departement de M.Ladsous.C'est deja une bonne chose de poursuivre ceux qui creent la desolation et la terreur dans les villages.Quand vous intervenez apres les massacres l'irreparable est deja fait.Votre mission etant de preserver les vies des innocents,votre intervention doit forcement se faire avant et non apres les massacres.10 ansRépondreLike (0)
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r.a.sMon frere kassin je te rejoind dans ta conception , ton realisme et ta vision des choses.une analyse tres evidente.Jusqu a quand il aura au mali des capable de comprendre que nous avons besoin d une armee forte d abord.10 ansRépondreLike (0)
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KassinBalle à terre! Depuis combien de temps déjà le Mali est en crise? La guerre a éclaté en janvier 2012 mais c'est depuis 2006 que le pays en crise avec la recrudescence des attaques armées de la bande à Ibrahim AG Bahanga et consorts de "l'Alliance". Par une étrange gouvernance du reniement de la réalité du pays, le régime ATT a cru bon de concéder les Accords d'Alger 1 de 2006 qui instituent la mise en place "d'unités spéciales de sécurité" dirigées par les ressortissants du Nord. Cette décisions de confier la sécurité des régions nord du pays aux ex combattants des rébellions armées du Nord est l'un des facteurs déterminants du pourrissement de la situation sécuritaire du Nord et de la clochardisation de l'armée malienne que nous connaissons aujourd'hui. Pourtant cette une décision prise par les généraux ATT et Kafougouna Koné sans véritable débats nationaux dans le pays. Dans la foulé en 2009, Bahanga abandonne ses amis de l'alliance et reprend seul les hostilités contre le Mali dans le nord du pays malgré l'implication personnelle du Colonel Kadhafi et de l'algérie pour le faire revenir à la raison. Bahanga, régulièrement invité à Koulouba pour lui faire raisonner, s'est entêté dans la guerre et c'est finalement l'actuel Général Gamou (alors chef d'état major particulier de la présidence du Mali sous ATT) qui se chargea de lui traquer dans le nord du pays jusqu'à sa mort brutale par accident 2011 en pleine crise libyenne. Justement c'est en 2011 que quand la Libye partait en lambeaux sous les bombes de l'OTAN et des rebelles du CNT contre le guide de la Jamariha arabe libyenne, qu'ATT et ses généraux ont vu le château de carte des accords d'Alger 1 de 2006 s'écrouler en une matinée. Car justement à cette époque le Mnla est créé et se veut une organisation politique et séparatiste et que des groupes touareg lourdement armés de la légion islamique de Kadhafi déferlaient dans le nord du pays avec armes et bagages. Beaucoup se sont plaints pourquoi le régime ATT ne les a pas empêché d'entrer avec des armes chez nous? Mais ils ont oublié justement que cela faisait longtemps que le régime ATT ne contrôlait plus l'immensité du nord du Mali à force de laisser le terrain aux ex combattants des unités spéciales diriger par des Colonels AG Mossa ou Bamoussa et autres Fagaga! Pendant que ceux-ci faisaient leur loi dans le septentrion, l'Aqmi s'est installé depuis 2003 et œuvrait à une funeste entreprise de traffic d'otages occidentaux d'armes et de stupéfiants. Au lieu de prendre le taureau par les cornes, le régimes ATT préférait fêter tranquillement et avec faste et arrogance un cinquantenaire bidon de l'indépendance du Mali en 2010 et 2011 pour se mentir à lui même. Au jugement des diplomates américains révélé par le site internet WikiLeaks qui disait que l'armée malienne était très mal formée et aux critiques des pays voisins qui disaient que le Mali est "le ventre mou" ou le maillon faible de la lutte antiterroriste au Sahel, ATT répondait qu'il "n y a même pas de maillon" à fortiori que le Mali soit le maillon faible. Que le nord du Mali était le sud d'un autre pays. Que les gens de l'Aqmi ne sont pas de chez nous, sous-entendu qu'ils sont venus d'ailleurs. Bref, il y avait tous les ingrédients d'un effondrement du pays et le régime ATT le niait jusqu'à la dernière minute avec une Mariam Kaïdama aux commandes qui dormait presque debout. Aujourd'hui nous vivons la même chose ou presque avec le régime IBK. Tout le monde voit des attaques quotidiennes des rebelles de la CMA contre l'armée, contre le Gatia et même contre la minusma et le régime IBK ne jure que par un accord d'Alger 2 dont ceux qui nous attaquent par les armes ne sont pas signataires. Il est évident que dans cette situation une nouvelle guerre est inévitable puisqu'elle est déjà déclarée par les combattants de la CMA. De septembre 2013 à mai 2015, le régime IBK n'a pas compris les erreurs du régime ATT car il a tout fait pour ne pas reconstituer l'armée et le positionner au nord du pays. Pire le régime IBK né dans l'épicentre de la crise malienne ne veut pas qu'on le critique. Trop bizarre! Après les tentatives ratées de Mahamadou Camara, alias Louis Camara de Funès tellement il était marrant, ex ministre de la communication et de l'économie numérique de museler la presse et l'Internet, c'est au tour des journalistes de métier, ceux-la même qui sont en charge de la diffusion de l'information par ce qu'ils en ont fait une profession habituelle, de jouer au super VRP du régime IBK contre les internautes qui pointent du doigt les dérives du régime IBK et du danger un il fait courir au Mali. On a vu Makan Koné, journaliste avocat de fortune, avec sa sortie contre les "Hassidi", il est maintenant récompensé (pour services rendus) avec un poste auprès du premier ministre Modibo Keita car son mandat à la maison de la presse à pris fin. On a vu le nouveau patron de cette maison10 ansRépondreLike (0)