Troubles graves à l’ordre public et coups et blessures volontaires : «Kri» déféré à la maison d’arrêt de Kati

Depuis un certain temps, ce jeune adolescent vivant à Noumorila défraie la chronique. Rappelons que dans la parution N°002 du Katois du 18 mai 2011, le nom de «Kri» apparaît dans l’affrontement entre  deux gangs dont il est membre de l’une des parties protagonistes. Echappé à la police à cette occasion par l’action des populations de son entourage, «Kri»  ne cesse de rendre la vie dure aux gens par ses actes de délinquant si on peut le qualifier de la sorte. Toute chose a une fin. Le vendredi 1^er juillet 2011, la police a mis la main sur lui suite aux plaintes déposées contre lui. Depuis il était en garde à vue jusqu’au  jeudi dernier, 14  juillet 2011 où il a été présenté au parquet et prévenu de troubles graves à l’ordre public et de coups et blessures volontaires. En attendent d’être jugé il est détenu à la prison.

Cette action de la police dénote de la volonté de mettre fin à ce phénomène de gangstérisme accru des adolescents qui,  aujourd’hui, n’ont autre hobby et fierté que de s’affronter avec des machettes et des armes à feu.

Encore une fois, nous lançons un appel aux parents et aux autorités pour qu’ils s’impliquent davantage pour freiner ce phénomène contraire à l’idéal d’une société apaisée.

B.S Sissoko

Maison d’arrêt de Kati

Du chanvre indien dissimilé dans le repas du détenu  Ablo Balayira

 Condamné pour détention,  consommation et vente de Chanvre indien «join» et opposition à la force publique, Ablo. Balayira récidive en Prison.

Purgeant sa condamnation de 5 ans d’emprisonnement dont quatre ferme pour détention,  consommation et vente de Chanvre indien «join»  et opposition à la force publique à la maison d’arrêt de Kati depuis le 9 juin,  Abdoulaye Balayira dit Ablo n’arrête pas de faire parler de lui. Une fois de plus, les autorités pénitentiaires ont  saisi du chanvre indien dissimilé dans son repas. Cet acte, nous pouvons le dire, ne concerne pas seulement Ablo, mais tous ses complices qui sont au dehors. Sinon comment peut-on avoir de telle chose en prison ? Tout porte  à croire que la justice se saisira de ce dossier. Aux dernières nouvelles, il a été transféré avec 60 autres à la maison d’arrêt de Bougouni pour désengorger celle de Kati.

Affaire à suivre.

Le persan