En un mot : Une audience polémique
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Dramane Aliou Koné[/caption]
Hier, la presse faisait état d’une rencontre en début de semaine dernière entre le Premier ministre et un cadre du Parti pour la renaissance nationale (Parena) pour un probable entré de cette formation dans un gouvernement d’union nationale.
Le Parena aurait, dit-on, décliné l’offre du chef du gouvernement, exigeant une table ronde comme préalable.On est allé jusqu’à traiter le PM de "comploteur". Un qualificatif que certains proches de Modibo Kéita ont mal apprécié.Ils ont donc décidé de donner leur version des faits,précisant que le cadre reçu à sa demande est un ex-ministre en fin de mission dans un consulat du Mali dans un pays d’Afrique centrale.
Ilsajoutent que l’hôte du PM était venu avant tout parler de la suite de sa carrière et tout ce qui a été dit l’a été dans un cadre purement informel qui ne devrait pas être considéré comme une approche officielle. Une nouvelle polémique qui ne va pas arranger les relations entre l’opposition et le gouvernement, très tendues ces temps-ci. On n’en demande pas plus pour la vitalité de la démocratie.Pourvu que les coups restent en-dessus de la ceinture.
DAK
Dramane Aliou Koné[/caption]
Hier, la presse faisait état d’une rencontre en début de semaine dernière entre le Premier ministre et un cadre du Parti pour la renaissance nationale (Parena) pour un probable entré de cette formation dans un gouvernement d’union nationale.
Le Parena aurait, dit-on, décliné l’offre du chef du gouvernement, exigeant une table ronde comme préalable.On est allé jusqu’à traiter le PM de "comploteur". Un qualificatif que certains proches de Modibo Kéita ont mal apprécié.Ils ont donc décidé de donner leur version des faits,précisant que le cadre reçu à sa demande est un ex-ministre en fin de mission dans un consulat du Mali dans un pays d’Afrique centrale.
Ilsajoutent que l’hôte du PM était venu avant tout parler de la suite de sa carrière et tout ce qui a été dit l’a été dans un cadre purement informel qui ne devrait pas être considéré comme une approche officielle. Une nouvelle polémique qui ne va pas arranger les relations entre l’opposition et le gouvernement, très tendues ces temps-ci. On n’en demande pas plus pour la vitalité de la démocratie.Pourvu que les coups restent en-dessus de la ceinture.
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NtjoBonsoir Monsieur Koné, Je suis désolé, au moment ou le pays brule, tu veux divertir les lecteurs en abordant un sujet qui n'est pas d'actualité. Je doute fort, à tort ou à raison, de la ligne éditoriale de ton jour. Je crois que le sujet brulant du jour devrait un tir croisé par tous les journalistes pour défendre l’intégrité du pays. en lieu et place dans ton édito, tu évoques des questions des de distraction. Ressaisis toi. Mon grand m'a toujours conseil, de tout vendre sauf ma dignité, ma nationalité, mes origines. -
IZACKSONJe soutien le Président quand il dit : les escarmouches entre l’opposition et le pouvoir sont des diversions qu’il faut dépasser à l’heure actuelle.
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DOCTEURL’objectif est certainement de faire de la politique malienne deux grandes familles politiques à savoir le parti majoritaire de gauche et de droite comme en France. Depuis la mise en place d’un chef de file d’une opposition, le gouvernement vise à impliqué tout acteurs politique dans le développement du pays.
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OUMARLe Parena a eu la chance qu’un homme stratège comme le premier Ministre sollicite leur présence au sein du gouvernement. L’implication de toutes les classes politiques à la gestion du pays est nécessaire. Chose qui a conduit le président de la République à créer le CFOP.
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DIATIGUIDivisé le Parena n’est nullement l’intention du premier Ministre, un homme aussi diplomate comme lui sait ce qu’il fait. D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle le président IBK l’a choisi pour mener ce bateau Mali à bon port. Ce n’est pas une première que le régime actuel place un membre de l’opposition à la tête d’une institution de l’Etat. La nomination de Ousmane Oumarou Sidibé à la présidence de la Commission Vérité, Justice et Réconciliation.
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InteLenceCette incurie du PM au sein du PARENA n'a rien de machiavélique comme le pensent des gens à cran dans les rangs. Pour réussir dans sa mission, le PM Modibo K.doit casser sa tirelire (RPM et Associés) pour s'offrir des cadres intègres et compétents dans les rangs de l'Opposition.
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SIRANILe Mali a besoin de tous ces fils réunis autour de lui, raison pour laquelle, le régime actuel ne pose de discrimination au sein de la classe politique. Seule l’union fait la force, une raison de plus de faire appel à tous les politiciens sans exception pour mener ce bateau à bon port.
