Visite de la directrice de l'Unesco au Mali : La concrétisation des promesses
Comme l'a si bien dit le président IBK lors de sa rencontre avec les personnalités le jour de l'Aïd-el-fitr, "Le Mali ne doit jamais décevoir, il a eu un des rares soutiens qu'aucun pays au monde n'a bénéficié". C'est ainsi que, comme un beau diable, Rama ne dort plus. Elle veut mériter de la confince placée en elle. C'est ainsi qu'elle vient de recevoir Mme Irina Bokova, Directrice Générale de l'Unesco concrétisant des promesses tenues. C'était ce week-end.
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Mme Bokova lors de l'inauguration des mausolés à Tombouctou[/caption]
Il faut rappeler qu'il y a moins d'un mois N'Diaye Ramatoulaye Diallo a participé à une rencontre en Allemagne afin de rassurer les partenaires du Mali de l'engagement du peuple malien à se relever. A la suite des douloureux événements qui ont failli mettre fin à son existence.
En effet, la reconstruction des mausolées et bibliothèques de manuscrits, touchés par les affres des obscurantistes, est un réel motif d'espoir pour notre pays qui se relève. Toutes choses qui prouvent que nous sommes sur le terrain de concrétisation des promesses tenues, de part et d'autre. Puisqu'il faut se dire que le plus important n'est pas de ne jamais tomber, mais de savoir se relever quand on trébuche. Pays de braves guerriers, le Mali est condamné à se refaire une nouvelle une santé. Il demeure le baromètre de l'Afrique de l'ouest francophone.
Alors, pour parler de la visite de Irina Bokova, elle est arrivée au Mali ce samedi avec un calendrier très chargé. Elle s'est rendue à Tombouctou pour réceptionner huit mausolées reconstruits grâce au concours de son institution. Où elle dira que : "c'est un message de paix, de réconciliation, de respect pour la culture et le patrimoine, pour cet héritage millénaire, profond, richissime du peuple malien, qui représente aussi une richesse, pas seulement pour le Mali mais pour toute l'humanité.". Pour elle, "c'est par la reconstruction des mausolées de Tombouctou que nous pouvons aussi accompagner les accords de paix et restaurer l'identité de la ville, connue à travers le monde".
Très décidée à soutenir notre pays, elle indique que l'Unesco a saisi la Cour pénale internationale : "Nous avons saisi la CPI. Quand on détruit délibérément le patrimoine culturel, c'est considéré comme un crime de guerre".
Avant de quitter le Mali, elle a été reçue par le président IBK qui l'a décorée. Et puis, elle a animé une conférence de presse.
Durant tout le temps qu'elle a passée au Mali, elle n'a pas cessé de rendre un hommage mérité à cette jeune ministre Rama pour son combat de reconstruction du Mali.
Ousmane COULIBALY
Mme Bokova lors de l'inauguration des mausolés à Tombouctou[/caption]
Il faut rappeler qu'il y a moins d'un mois N'Diaye Ramatoulaye Diallo a participé à une rencontre en Allemagne afin de rassurer les partenaires du Mali de l'engagement du peuple malien à se relever. A la suite des douloureux événements qui ont failli mettre fin à son existence.
En effet, la reconstruction des mausolées et bibliothèques de manuscrits, touchés par les affres des obscurantistes, est un réel motif d'espoir pour notre pays qui se relève. Toutes choses qui prouvent que nous sommes sur le terrain de concrétisation des promesses tenues, de part et d'autre. Puisqu'il faut se dire que le plus important n'est pas de ne jamais tomber, mais de savoir se relever quand on trébuche. Pays de braves guerriers, le Mali est condamné à se refaire une nouvelle une santé. Il demeure le baromètre de l'Afrique de l'ouest francophone.
Alors, pour parler de la visite de Irina Bokova, elle est arrivée au Mali ce samedi avec un calendrier très chargé. Elle s'est rendue à Tombouctou pour réceptionner huit mausolées reconstruits grâce au concours de son institution. Où elle dira que : "c'est un message de paix, de réconciliation, de respect pour la culture et le patrimoine, pour cet héritage millénaire, profond, richissime du peuple malien, qui représente aussi une richesse, pas seulement pour le Mali mais pour toute l'humanité.". Pour elle, "c'est par la reconstruction des mausolées de Tombouctou que nous pouvons aussi accompagner les accords de paix et restaurer l'identité de la ville, connue à travers le monde".
Très décidée à soutenir notre pays, elle indique que l'Unesco a saisi la Cour pénale internationale : "Nous avons saisi la CPI. Quand on détruit délibérément le patrimoine culturel, c'est considéré comme un crime de guerre".
Avant de quitter le Mali, elle a été reçue par le président IBK qui l'a décorée. Et puis, elle a animé une conférence de presse.
Durant tout le temps qu'elle a passée au Mali, elle n'a pas cessé de rendre un hommage mérité à cette jeune ministre Rama pour son combat de reconstruction du Mali.
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SikassoA quand on va s'arrêter la mendicité et se mettre au travail il y'a que le travail qui sauvera notre pays et non en se prostituant
