Crise malienne : le Burkina Faso s'engage à renforcer sa médiation
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Le ministre burkinabè des Affaires étrangères, Djibrill Bassolé,[/caption]
OUAGADOUGOU- Le ministre burkinabé des Affaires étrangères Djibrill Bassolé a déclaré jeudi que son pays renforcera sa médiation dans la crise malienne "en dépit des agitations de certains mouvements politiques au Mali.
Au cours d'un point de presse, M. Bassolé a rappelé l' obligation faite pour le Mali, selon les décisions de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), de mettre en oeuvre un gouvernement d'union nationale qui soit plus inclusif possible avec comme délai le 31 juillet 2012.
Faute de quoi, a expliqué le ministre burkinabé, les chefs d' Etat de la CEDEAO vont aviser avec comme action première de ne plus reconnaître le gouvernement malien.
Pour le chef de la diplomatie burkianbé, le mécontentement de certains mouvements pro-putschistes doit être vue sous un angle de réussite pour avoir inventé l'agenda caché de ceux qui ne voulaient pas respecter les dispositifs constitutionnels.
M. Bassolé a insisté sur la nécessité du retour du président de la transition du Mali, Dioncounda Traoré, sur lequel tout repose afin d'accélérer le processus de normalisation au Sud du Mali.
Cette normalisation devrait relancer la résolution de la confusion qui règne dans le nord du pays grâce à la médiation de la CEDEAO qui ne cesse de multiplier les actions dans ce sens, a-t- il poursuivi.
Pour lui, cela explique les échanges entre les cadres du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) mercredi à Ouagadougou afin de parvenir.à un minimum de cohésion et amener ceux qui le souhaitent de rentrer dans la République et isoler les autres contre lesquels un affrontement armé avec les forces en attente de la CEDEAO n'est pas à exclure.
"Le MNLA s'est réuni à Ouagadougou, c'est vrai. C'était une rencontre de concertations inter-mouvement. Les dirigeants du mouvement ses sont retrouvés ici avec l'ensemble des cadres pour définir leur feuille de route pour le processus de paix. Ce que nous retenons d'intéressant, nous médiation, est que cette réunion a pris de résolutions allant dans le sens de les engager davantage à la recherche d'une solution de paix", a dit M. Bassolé.
Publié le 2012-07-27 10:24:38 | French. News. Cn
Le ministre burkinabè des Affaires étrangères, Djibrill Bassolé,[/caption]
OUAGADOUGOU- Le ministre burkinabé des Affaires étrangères Djibrill Bassolé a déclaré jeudi que son pays renforcera sa médiation dans la crise malienne "en dépit des agitations de certains mouvements politiques au Mali.
Au cours d'un point de presse, M. Bassolé a rappelé l' obligation faite pour le Mali, selon les décisions de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), de mettre en oeuvre un gouvernement d'union nationale qui soit plus inclusif possible avec comme délai le 31 juillet 2012.
Faute de quoi, a expliqué le ministre burkinabé, les chefs d' Etat de la CEDEAO vont aviser avec comme action première de ne plus reconnaître le gouvernement malien.
Pour le chef de la diplomatie burkianbé, le mécontentement de certains mouvements pro-putschistes doit être vue sous un angle de réussite pour avoir inventé l'agenda caché de ceux qui ne voulaient pas respecter les dispositifs constitutionnels.
M. Bassolé a insisté sur la nécessité du retour du président de la transition du Mali, Dioncounda Traoré, sur lequel tout repose afin d'accélérer le processus de normalisation au Sud du Mali.
Cette normalisation devrait relancer la résolution de la confusion qui règne dans le nord du pays grâce à la médiation de la CEDEAO qui ne cesse de multiplier les actions dans ce sens, a-t- il poursuivi.
Pour lui, cela explique les échanges entre les cadres du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) mercredi à Ouagadougou afin de parvenir.à un minimum de cohésion et amener ceux qui le souhaitent de rentrer dans la République et isoler les autres contre lesquels un affrontement armé avec les forces en attente de la CEDEAO n'est pas à exclure.
"Le MNLA s'est réuni à Ouagadougou, c'est vrai. C'était une rencontre de concertations inter-mouvement. Les dirigeants du mouvement ses sont retrouvés ici avec l'ensemble des cadres pour définir leur feuille de route pour le processus de paix. Ce que nous retenons d'intéressant, nous médiation, est que cette réunion a pris de résolutions allant dans le sens de les engager davantage à la recherche d'une solution de paix", a dit M. Bassolé.
Publié le 2012-07-27 10:24:38 | French. News. Cn Quelle est votre réaction ?
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izzackTout porte à croire que le Burkina joue un double jeu. Il soutient le MLNA qui a elu domicile au Faso. Les actions du Burkina prouvent qu'il veut une autonomie pour l'imaginaire Azawad. Il faut coopérer mais il ne faut pas être naïf; il faut se dire la vérité. Personne au governement malien n'ose demander des explications à Blaise Compaoré. A quoi bon de renforcer une négociation impartiale et biasée? -
cosmopoliteLa médiation burkinabè doit être récusée. Comment comprendre que les pires ennemis du Mali (MLNA) soient les amis du Burkina Faso? Là il y a enguille sous roche. Un médiateur dans une crise est censé être neutre. Mais qu´est-ce qui explique l´exfiltration d´un des leaders du MNLA lors de la débacle militaire de celui-ci à Gao face au MUJAO? Les allégations de Kadré Désiré Ouédraogo, Président burkinabé de la cedeao, faisant état de "négocier avec ceux qui ont des révendications légitimes" (allusion faite au MNLA) sont la preuve palpable du soutien du Burkina Faso à ces Malfaiteurs Nuisibles "Lourdement Armés". Le Burkina joue un double jeu. Il est temps que cette médiation soit mise en cause car ce pays à travers son Président a trempé dans nombre de conflits dans la sous-région (à titre d´exemple: au Libéria, en sierra Leone, en Côte d´Ivoire). Depuis que Sankara n´est plus [assassiné probablement par Blaise Compaoré] le Burkina a cessé d´être le pays des hommes intègres.
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mondious karatekalaisser tranquile le burkina faso cest des honneter personne qui vous aide a sortir de la merde dans lequekl vous ete enbourgue jus qu cl blaise et bassoler et ouatyara sont des homme ces pas des peureux comme vous malien qui ont peur de foutre cette junte dehors honte a ces militaire vraiment il nont qua aller se tuer cest mieux il nont plus aucun respect si cetait des homme il navait qua retourner aiu nord le 23 mars comme cela ont pouvait dire quil y avait une part de veriter mais fuir le nord comme des femmelle en chaleur et aller se cacher au sud se bonbant la poitrione cest honteux honteux a ces puthiste de malheur du mali vive la cedeao vive le burkina faso honte au malien
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AngaranGardez bien vos parents membres et dirigeants du MNLA chez vous... votre mediation est trop hypocrite! J'avoue tout de meme que c'est l'armee malienne et les politiciens maliens qui vous donnes tous les moyens pour nous faire avaler cette fameuse honte.
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le phoenixPLUS ROYALISTE QUE LE ROI....JE NE VEUX PAS DE TON AIDE ..MAIS TU CHERCHE A ME L'IMPOSE DE FORCE... POURQUOI???? SOYEZ SURE ET CERTAINS QUE VOUS NE POUREZ RIEN FAIRE A CE PAYS VOUS LES VOLTAIQUES. QU'ALLAH BENISSE MON MALI
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doucaraAbas bassolle Abas blaise Abas outtara vive le CMD Abas bassolle Abas blaise Abas outtara vive le CMD Abas bassolle Abas blaise Abas outtara vive le CMD Abas bassolle Abas blaise Abas outtara vive le CMD
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SANOGO DEGAGEils sont tous nuls y compris votre CMD....
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DOUMBIALE MALI ET LE BURKINA:Les deux peuples sont condanné à vivre ensemble.Le meme pour la cedeao,auqu'un de ses peuples ne doit se profiter de la fablesse de l'autre.Mon president compaoré,le mnla a trahit dieu,donc il s'attendre à tout.QUE DIEU GARDE LE BURKINA.
